L'occasion est plus dangeureuse que le piratage
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- PN Team
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L'occasion est plus dangeureuse que le piratage
Le co-fondateur de Blitz Games Studios, Andrew Oliver, a déclaré que les jeux dits de seconde main ou d'occasion, et le marché qui va avec, a un effet plus dangereux sur l'industrie que le piratage.<BR><BR>Pour lire la suite de la news : www.p-nintendo.com
- johnkaffee
- Docteur Mario
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Vu que J'AI FORCEMENT raison, VOUS AVEZ FORCEMENT tort. De toutes façons, quand les types de 1m98 parlent, les petits sont forcément d'accord@JohnKaffee
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Plutôt d'accord avec lui, perso si je n'achète quasiment plus de jeux neuf c'"est surtout pour qu'ils arrêtes de nous pondre des daubes, au moins ça rentre pas dans leurs poches.Seriez-vous aussi d'accord pour dire que l'occasion est une pratique plus dangereuse que le piratage ? Ou pensez-vous que ce monsieur exagère un tout petit peu ?
Celui qui vit par l'épée fini toujours par se la prendre dans le cul.
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- Metal Mario
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L'occas' a je pense, chez Nintendo, pas le meme pourcentage des utilisateur que le piratage mais c'est clair que l'occas' est un mal pour des éditeurs, mais pas pour les consommateurs.
Chez moi depuis quelques années je n'achete plus rien en neuf, entre un jeu a 70 € neuf et le meme jeux 3 ou 4 mois plus tard en occas a environ 50 €, y a pas photo, surtout que ca me laisse le temps d'économiser.
Chez moi depuis quelques années je n'achete plus rien en neuf, entre un jeu a 70 € neuf et le meme jeux 3 ou 4 mois plus tard en occas a environ 50 €, y a pas photo, surtout que ca me laisse le temps d'économiser.
- Dimitri PN
- PN Team
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Ils ne rapportent rien à l'éditeur.bat a écrit :D'un autre coté les jeux d'occasions ont "déja servi " donc c'est normal qui rapporte moins
Twitter : Dima Novik
A part peut-être dans le cas de la DS (et encore, selon moi c'est plutôt l'avalanche de produits merdiques qui l'a "tuée"), je suis convaincu que le problème du piratage est très exagéré par les industriels depuis 10 ans, même pour le PC.
Pour ce qui est de l'occasion, c'est difficile d'extirper une réponse précise, je comprend parfaitement le point de vue des industriels parce qu'après tout, une bonne partie des joueurs ne vont pas rejouer à un jeu une fois terminé, du coup on payerait plus le service "jouer tranquillement pendant X heures" que "posséder une boite avec un jeu tellement bien que je le revend une fois fini". De plus, quand on voit des jeux qui n'ont que quelques mois vendus à peine 5€ moins cher que le neuf, y'a de quoi rager un peu de pas toucher un centime dessus.
Amha, le dématérialisé est une des solutions en vendant quelques mois après à un tarif défiant l'occasion (mais cette pratique n'est en œuvre que sur PC, ou l'occasion est déjà moribonde); quant à la solution electronic arts, tant que les grands distributeurs se feront des couilles en or sans reverser un centime aux éditeurs, c'est bien ce qui risque de se généraliser.
Pour ce qui est de l'occasion, c'est difficile d'extirper une réponse précise, je comprend parfaitement le point de vue des industriels parce qu'après tout, une bonne partie des joueurs ne vont pas rejouer à un jeu une fois terminé, du coup on payerait plus le service "jouer tranquillement pendant X heures" que "posséder une boite avec un jeu tellement bien que je le revend une fois fini". De plus, quand on voit des jeux qui n'ont que quelques mois vendus à peine 5€ moins cher que le neuf, y'a de quoi rager un peu de pas toucher un centime dessus.
Amha, le dématérialisé est une des solutions en vendant quelques mois après à un tarif défiant l'occasion (mais cette pratique n'est en œuvre que sur PC, ou l'occasion est déjà moribonde); quant à la solution electronic arts, tant que les grands distributeurs se feront des couilles en or sans reverser un centime aux éditeurs, c'est bien ce qui risque de se généraliser.
- johnkaffee
- Docteur Mario
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C'est un peu ce que tentait de démontrer David Rosen.Jibaycay a écrit :je suis convaincu que le problème du piratage est très exagéré par les industriels depuis 10 ans, même pour le PC.
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J'ai lu cet article directement sur le blog de Wolfire rassure toijohnkaffee a écrit :C'est un peu ce que tentait de démontrer David Rosen.Jibaycay a écrit :je suis convaincu que le problème du piratage est très exagéré par les industriels depuis 10 ans, même pour le PC.

(mais je n'avais pas que celui-là en tête).
Tous mes jeux sur XBOX360 sont des occasions. Donc je peux comprendre leur réaction. Mais il faudrait tourner le problème autrement. J'aurais très bien pu pirater ma console (assez facilement d'ailleurs). Mais quand je vois les prix des jeux d'occasion, je me dis que ça ne vaut plus la peine de risquer de briquer ma console. Le prix moyen de chacun de mes jeux varie entre CHF 20.00 et CHF 30.00. Mon prix le plus bas a été de CHF 12.00 pour GOW1 ! Donc au lieu de pleurer sur ce marché et sur le problème du piratage, ils feraient peut-être mieux de réfléchir sur le prix honteux d'un seul jeu !
Nanar
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Le marché de l'occasion existe dans tous les domaines artistiques à reproduction (les livres, la musique, le cinéma, les Bandes dessinées), et curieusement, à moins que je n'aie pas les oreilles au bon endroit, le marché du Jeu vidéo est le seul à s'en plaindre (et a même déjà tenté de prendre des mesures contres -ce qui est purement inacceptable, pouvoir revendre un objet qu'on a acheté dans l'état ou on l'a acheté est un droit fondamental de possession, attention je me base sur l'esprit logique et pas sur une loi pour affirmer ça, mais ça ne m'étonnerait pas qu'on retrouve ça dans une loi-, exemple: Prince of Persia, Dragon Ages Origin, Mass Effect 2).
A mon avis le problème ne se situe pas au niveau du marché de l'occasion, mais au niveau du marché du jeu vidéo lui même, qui a quelques problèmes, peut être notamment de prix.
A mon avis le problème ne se situe pas au niveau du marché de l'occasion, mais au niveau du marché du jeu vidéo lui même, qui a quelques problèmes, peut être notamment de prix.
C'est pas si évident de réfléchir au prix d'un seul jeu, puisqu'en l'occurrence, plus que la part de l'éditeur lui-même, c'est toute la chaine de distribution qui est mise en cause.
Pourquoi croyez-vous que les DLC sont aussi populaires auprès des éditeurs? parce que pour un DLC vendu, il font un résultat parfois supérieur qu'à la vente d'un jeu à 70€ sous forme physique.
Cependant, outre la piste anglaise qui est une fausse solution pour faire baisser les prix (avec une livre basse, ils gagnent moins qu'ils auraient dû), il faut se tourner auprès non pas des éditeurs, mais des constructeurs.
Un "gros jeu" PC est vendu en moyenne 50€, alors que la version console vaut 70€ (mais j'évoque pas la version Wii, puisque les coûts de développement sont bien plus faible, même si les royalties existent toujours). Certes une licence PC n'a pas réellement le luxe d'être transférable (à mon grand regret croyez-moi), mais encore une fois, même si les royalties peuvent sembler élevées, il serait injuste pour le constructeur de ne pas les lui verser puisque son service, est bien réel.
Reste la piste du dématérialisé comme je disais tout à l'heure, qui petit à petit s'améliore, et qui a le double avantage de faire baisser les prix et de plomber le côté transférable de la licence, à moins que le système ne l'accepte (ce qui à part de rares tentatives sur PC, n'est pas prêt d'arriver), à compenser donc par une amélioration des services, comme on peut le voir avec Steam (téléchargement un nombre illimité de fois sur autant de machines que l'on veut, patchs automatiques, multi-support depuis peu...).
Bref, faire baisser les prix sur support physique n'est facile pour personne, et n'améliorerait sans doute pas la situation, et quand bien même il serait impossible de transférer une licence boitier, que ça se retentirait sur le prestige d'une société qui emploierait une telle méthode.
Pourquoi croyez-vous que les DLC sont aussi populaires auprès des éditeurs? parce que pour un DLC vendu, il font un résultat parfois supérieur qu'à la vente d'un jeu à 70€ sous forme physique.
Cependant, outre la piste anglaise qui est une fausse solution pour faire baisser les prix (avec une livre basse, ils gagnent moins qu'ils auraient dû), il faut se tourner auprès non pas des éditeurs, mais des constructeurs.
Un "gros jeu" PC est vendu en moyenne 50€, alors que la version console vaut 70€ (mais j'évoque pas la version Wii, puisque les coûts de développement sont bien plus faible, même si les royalties existent toujours). Certes une licence PC n'a pas réellement le luxe d'être transférable (à mon grand regret croyez-moi), mais encore une fois, même si les royalties peuvent sembler élevées, il serait injuste pour le constructeur de ne pas les lui verser puisque son service, est bien réel.
Reste la piste du dématérialisé comme je disais tout à l'heure, qui petit à petit s'améliore, et qui a le double avantage de faire baisser les prix et de plomber le côté transférable de la licence, à moins que le système ne l'accepte (ce qui à part de rares tentatives sur PC, n'est pas prêt d'arriver), à compenser donc par une amélioration des services, comme on peut le voir avec Steam (téléchargement un nombre illimité de fois sur autant de machines que l'on veut, patchs automatiques, multi-support depuis peu...).
Bref, faire baisser les prix sur support physique n'est facile pour personne, et n'améliorerait sans doute pas la situation, et quand bien même il serait impossible de transférer une licence boitier, que ça se retentirait sur le prestige d'une société qui emploierait une telle méthode.