Hey moi j'ai pas vut sony annoncer un forfais, chaque jeux sera payant.
Tu connais l'histoire de MICROSOFT, SONY et EA.
EA grosse boite pondeur de daube, voyant le live prendre une reel importance appelle Microsoft pour devellopper sur le Live, mais un probleme les embetes car s'est MS qui gere les serveurs, mais eux il veulent que se soit eux pour taxer de 4 a 8 euros a chaque joueur sur chaque jeux mais voila la boite a Bilou dit non car il veule pas que les joueur taxe en plus, donc EA pas content trouve une autre societe qui gere le live et c'est SONY qui lui ne va pas gerer ses prope serveur, donc ils vont pouvoir pomper du fric va et c'est comme qu'il deviennent exlus PS2 online.
Sony et les développeurs
Article écrit par FredC
L'Open Model de SONY
Sony a décidé d'envisager le concept du jeu online à l'inverse de Microsoft. Autant ce dernier mise sur un système centralisé avec le Xbox Live, dont il gère la totalité des prestations, autant Sony se dégage de cette responsabilité et laisse la lourde charge du service en ligne aux éditeurs tiers.
Donc on ne peut pas vraiment parler de service en ce qui concerne Sony, mais plutôt d'une solution hardware et d'une charte visant à unifier les développements.
Par conséquent, la qualité du service en ligne dépendra avant tout de l'importance de l'éditeur et de son expérience dans le domaine du Online. On rejoint ainsi un mode de fonctionnement identique à ce que l'on trouve sur PC, avec les inconvénients que l'on connaît (serveurs parfois lents selon leur situation géographique, phases de beta tests à rallonge, sécurité parfois perfectible face aux hackers, login et mots de passe différents pour chaque jeu, etc). De plus, cela empêche toute unification des services, tels que l'utilisation généralisée de certains périphériques (je pense notamment au Voice Communicator proposé d'emblée avec le Xbox Live).
L'accueil des développeurs
Ce qui aurait pu sembler un réel inconvénient pour les éditeurs tiers ne semble pas avoir spécialement effrayé ces derniers. Et cela pour une bonne raison : ce qu'ils perdent en soutien logistique, ils le gagnent en indépendance et en liberté d'exploitation.
Pour mieux comprendre, voyons les points clefs du "PS2 Online Open Model" proposé par Sony aux éditeurs :
- Pas de royalties à payer à Sony pour la mise en œuvre du jeu en ligne
- Liberté totale sur les tarifications (abonnements, phases d'essai…)
- Gestion directe des relations et des bases de données clients
- Liberté de créer des jeux en ligne quand bon leur semble (pas d'obligation de planning ou de résultat)
- Plus grande flexibilité dans la maintenance de leurs propres réseaux, dans leurs partenariats avec des prestataires Internet ou des sites de jeux, etc.
Bref, Sony joue la carte de la liberté, et les éditeurs aiment. Au final, le joueur risque d'être un peu moins gagnant dans l'histoire, puisqu'il va donc devoir payer un abonnement par jeu. Certes beaucoup de jeux ne demanderont pas d'autre investissement que l'achat initial, mais il est fort probable que tous les MMORPG, tels que Everquest ou Star Wars Galaxies entre autres, demanderont chacun un abonnement séparé. Après, à chacun de gérer ses finances.
On comprend rapidement l'intérêt économique que cela peut avoir pour les éditeurs tiers. Pour les utilisateurs, il reste à voir si les investissements matériels et logiciels ne limiteront pas le Online aux budgets les plus confortables.
Un modèle viable ?
C'est d'ailleurs sûrement cette crainte de non-viabilité du système, qui le réserve à une clientèle plutôt aisée et plus âgée, qui fait hésiter Sony à s'impliquer pleinement dans le Online. Le géant nippon admet lui-même ne pas être foncièrement convaincu par le modèle économique proposé, et semble considérer son initiative comme une démarche encore expérimentale.