Un titre très particulier nous est proposé par Deep End Games et vous met dans la peau de Cassie Thorton, une jeune femme aveugle, qui se rend dans une demeure pas franchement accueillante qui semble liée à ses récents cauchemars. Oui le personnage est aveugle et tel Daredevil, Cassie utilise sa canne pour générer des ondes qui vont se réfléchir sur les matériaux autour d’elle afin de lui donner une perception visuelle du décor l’entourant, à la manière du sens radar développé par les chauves-souris pour se mouvoir dans l’obscurité totale et qu’en science on appelle l’écholocalisation ou écholocation.
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[Test] Test Perception : seule dans la nuit
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Alors ce jeu, je l'ai fait à sa sortie. Le style m'emballait bien mais le plaisir est vite retombé quand je me suis rendu compte que la seule difficulté du jeu était de trouver le prochain objectif dans les méandres de ce manoir.
J'aime bien l'originalité du fait qu'il faille utiliser sa canne pour sentir son environnement mais c'est une fausse bonne idée : ça revient presque à se taper un FPS sans éclairage, du coup, ça devient plus une corvée qu'un réel effet de gameplay.
Surtout que la sois-disante bête est aussi sourde que le joueur aveugle et n'apporte presque pas de challenge.
J'ai du tourner en rond des heures pour savoir comment atteindre telle ou telle porte que mon sixième sens affichait mais qui était un ou deux étages au-dessus et assez éloignée sans aucun indice pour y aller.
Or la plupart des portes sont fermées et s'ouvrent avec l'avancement du scénario, du coup, on se retrouve dans des situations ridicules ou l'objectif est parfois juste derrière une porte mais qu'il faille faire tout un détour pour y accéder sachant qu'une fois atteint, cette porte s'ouvre mystérieusement. Et c'est tout le temps comme ça.
Le chapitre que j'ai le plus apprécié est celui des poupées qui procure un réel sentiment de stress et m'a fait penser aux films de Dario Argento. Là, il y avait enfin un peu de difficulté autre que tattoner des heures à se prendre les murs.
Mais ce chapitre arrive malheureusement assez tard et je n'avais qu'une envie, c'est de plier le jeu au plus vite pour passer à autre chose...
J'aime bien l'originalité du fait qu'il faille utiliser sa canne pour sentir son environnement mais c'est une fausse bonne idée : ça revient presque à se taper un FPS sans éclairage, du coup, ça devient plus une corvée qu'un réel effet de gameplay.
Surtout que la sois-disante bête est aussi sourde que le joueur aveugle et n'apporte presque pas de challenge.
J'ai du tourner en rond des heures pour savoir comment atteindre telle ou telle porte que mon sixième sens affichait mais qui était un ou deux étages au-dessus et assez éloignée sans aucun indice pour y aller.
Or la plupart des portes sont fermées et s'ouvrent avec l'avancement du scénario, du coup, on se retrouve dans des situations ridicules ou l'objectif est parfois juste derrière une porte mais qu'il faille faire tout un détour pour y accéder sachant qu'une fois atteint, cette porte s'ouvre mystérieusement. Et c'est tout le temps comme ça.
Le chapitre que j'ai le plus apprécié est celui des poupées qui procure un réel sentiment de stress et m'a fait penser aux films de Dario Argento. Là, il y avait enfin un peu de difficulté autre que tattoner des heures à se prendre les murs.
Mais ce chapitre arrive malheureusement assez tard et je n'avais qu'une envie, c'est de plier le jeu au plus vite pour passer à autre chose...