De la Nes à la Wii: que retenir?

Discussions sur les consoles de salon de Nintendo (Switch, Wii U, Wii, NGC, N64, SNES, NES), ainsi que sur les jeux disponibles ou à venir sur ces consoles mythiques !
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Kyubi
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Message par Kyubi »

Atari, série phare toujours célèbre!


Atari Flashback

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Prix : 40 euros
Année : 2004 (US) 2005 (Europe)
Rareté : Très courant

Surfant sur la vague nostalgique qui touche le grand public depuis quelques temps, Atari nous pond une suite à son TV Games. Cette petite console, manette tout-en-un reprenant la forme du contrôleur de l'Atari 2600, avait été la première console officielle – comprenez qu'elle n'était pas une console pirate – jouant la corde rétro sortie en Europe. Son succès a été très correct, mais c'est surtout la Tivi Pad de Lansay, qui a relancé quelques succès de Namco dans une petite machine tout en un identique. Forte d'excellentes ventes, le feu a bien pris aux poudres.

Entre temps, un nombre pratiquement incalculable de machines de ce genre a vu le jour. La Flashback d'Atari se veut un peu plus poussée, puisqu'en lieu et place d'une manette, on a ici un packaging plus proche de celui d'une console classique.
Contrairement à de nombreuses machines daubesques du genre, ici, pas de méprise sur la marchandise : le logo old school d'Atari est bien mis en avant et n'a ici vraiment rien à voir avec ce qu'est devenu Infogrames (malgré les nombreux liens renvoyant sur le site internet de l'éditeur). Le carton est classique, avec une belle couleur rouge qui le rend visible de loin sur les étalages des grandes surfaces. A l'arrière, des captures d'écran sont disponibles, permettant de choisir bien plus facilement lorsque l'on ne connaît pas les titres des jeux.
La liste des jeux est la suivante :
[Atari 2600] Adventure, Air-Sea Battle, Battlezone, Breakout, Canyon Bomber, Crystal Castles, Gravitar, Haunted House, Millipede, Saboteur, Sky Driver, Solaris, Sprint Master, Warlords, Yars Revenge. A noter que saboteur n'est jamais sorti officiellement, sympa pour les collectionneurs.
[Atari 7800] Asteroids, Centipede, Desert Falcon, Food Fight, Planet Smashers. Comme vous le voyez, il y a le choix parmi ces vingt jeux aux styles très différents.

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Une boite pour le moins voyante.

A l'intérieur de la boite, un bel autocollant Atari nous redonne un petit pincement nostalgique. On trouve un jeu de câbles RCA (un pour le son en mono et un pour l'image en composite), un adaptateur secteur, la console et deux manettes.
La console reprend la forme d'une 7800 en plus petit, avec un look sensiblement différent, reprenant la couleur rouge de la boîte. La machine est toute petite et très légère, mais la finition est correcte. On trouve même un scotch signalant que la garantie de la machine est brisée si on essaie de la démonter ! On doit ce design à Curt Vendel, un ancien de chez Atari qui a maintenant une boîte de design. On ne va pas non plus affirmer qu'il s'est trop foulé... Le reste du développement du harware a prix une dizaine de semaines aux ingénieurs de chez Atari.
Au niveau des manettes, c'est tout aussi rétro. Par contre ce sont celles de la première version américaine, avec des gros sticks et non les paddles que l'on connaît par chez nous. Cela souligne le fait que ce produit était au départ fabriqué pour le marché nord-américain.
La notice est assez sympa aussi, et pour une fois que l'on a quelques chose d'assez joli, pas mal traduit et expliquant le fonctionnement de chaque jeu, on ne va pas se plaindre.

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Simple mais efficace, tout ce qu'il faut pour jouer sans plus attendre.

Une fois que tout est branché, on peut jouer un peu. Les jeux semblent identiques aux cartouches de l'époque. Pourtant, ce ne sont pas du tout les versions originales. La Flashback est, sans surprise, basée sur la puce NES-on-a-chip, une puce qui équipe pratiquement toutes les consoles nostalgiques actuelles. Les jeux demandent donc à être intégralement réécrits. Visuellement, pratiquement aucune différence, on trouve bien ça et là quelques trucs qui changent, mais ce n'est pas bien grave, le hardware de la NES ne pouvant pas recréer totalement à l'identique des softs faits pour une Atari 2600. La qualité varie donc d'une adaptation à l'autre, mais il faut vraiment être un gros puriste pour voir la différence.
De même, certains jeux nécessitent normalement une manette dédiée utilisant des molettes. C'est ainsi le cas pour Warlords ou encore Beakout. Les versions proposées ici ne fonctionnent qu'avec les manettes, ce qui rend le jeu bien moins fin. Warlords surtout, perd pratiquement toute sa saveur puisqu'il est impossible d'y jouer à quatre mais seulement à deux.
Pour le reste, cela ne pose aucun problème. Les manettes auraient tout de même gagné en précision, la manette originale de l'Atari 2600 se révélant bien moins capricieuse.

Encore une fois, c'est une machine assez moyenne, mais qui peut tout de même permettre de se taper une belle séance de nostalgie. Les puristes eux, resteront sur les versions originelles, généralement plus fines. Quant aux collectionneurs, il la leur faut puisqu'il leur faut tout !


Atari Jaguar

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Microprocesseur : GPU (Risc 64 bits, 27 MIPS) + DSP
Mémoire vive : 2Mo dédiés à la vidéo
Mémoire morte : cartouches d'une capacité totale de 6 Mo
Vidéo : résolution allant jusqu'à 768*576 pixels en 16 millions de couleurs (24 bit)
Son : 12 voies stéréo en qualité CD (16 bits, 44 kHz)
Prix : environ 1790 Frs
Année : 1993
Rareté : Assez Courant

Non content d'avoir sorti la première console portable couleur de l'histoire et une des consoles qui ont le plus marqué les jeux vidéos, j'ai nommé la VCS2600, Atari sort la première console 64 bits, 100 fois plus puissante qu'une Super Nintendo ! Au départ, Atari travaillait sur un projet de console 32 bits, la Panther, mais finalement ce projet fut abandonné et la firme s'est fixée sur la Jaguar, annoncée en 1991 mais qui mit quelques années à arriver à majorité.

La première chose qui choque quand on voit la console, c'est l'allure des manettes, on dirait des téléphones ! C'est un peu comme celle du Falcon, un micro de la même marque. En effet, il y a plein de touches qui servent dans certains jeux, et on donne même parfois un plastique à appliquer dessus pour voir directement à quoi correspond telle ou telle touche. On peut noter aussi l'absence de capot protégeant le lecteur de cartouches (bonjour la poussière !), on peut supposer que c'est pour mieux mettre le CD-Rom, qui est un des nombreux accessoires de la consoles. Ce dernier peut lire les CD audio, les CD+G, les CD-Photo et bien entendu les CD Jaguar. Dans les nombreux accessoires on compte aussi un casque virtuel et un modem, ou encore une cartouche permettant, si l'on dispose du lecteur CD Jaguar, de lire les CD au format MPEG2.

La fabrication de la machine fut confiée à IBM, ce qui est un gage de qualité. La Jaguar est architecturée autour de deux processeur faits maison : Tom & Jerry (cool comme nom ! ). Tom est un processeur 64 bits dédié au calcul principal et à la vidéo, c'est en fait un ensemble de quatre puces : un processeur objet, un GPU (Graphic Processing Unit), un "blitter" (accélérateur graphique) et un contrôleur mémoire. Jerry est quand à lui un processeur 32 bits réservé au traitement des signaux numériques et plus particulièrement au son. Son principal constituant est un DSP (Digital Signal Processing). Sinon on a un 68000 classique (16 bits, donc), épaulé par les 2 MO de RAM.

Ca cartonnait pas mal aussi du point de vue graphique : la résolution pouvait atteindre 768 x 576 pixels en Full Overscan (l'image tient tout l'écran) en 16 millions de couleurs sans conflits de proximité (c'est le True Color 24 bits). Mais ça va encore plus loin : le codage des couleurs se fait en 32 bits : 24 bits pour la couleur et 8 bits pour l'Alpha Channel (ce sont les effet spéciaux attribués à chaque pixel). Le processeur RISC 64 bits permettait des animations parfaitement fluides ! En théorie, la vitesse d'animation était de 850 millions de pixels par seconde (soit environ 1900 images par seconde !). Mais bon, calmos, ce n'est que de la théorie. De plus tout ceci est épaulé par de effets spéciaux : scrollings hardware, sprites hardware sans limite de taille ni de nombre, zooms, rotations et déformations, et même un custom hardware pour le calcul des objets en 3D.
La 3D commençait à pointer le bout de son nez, on a donc ajouté à la Jaguar de quoi les exploiter, la console est capable de gérer en temps réel un univers 3D avec Gouraud Shading et Mapping de textures.
Quand au son, la console pouvait sortir 12 voies stéréo de synthèse en qualité CD (soit 16 bits stéréo en 44 kHz), on pouvait même aller jusqu'à 250 kHz !

La console n'a pas eu le succès attendu, d'une part à cause des moyens limités d'Atari, qui avait nettement perdu la forme depuis le début des années 90', et surtout, ce qui est lié, au manque d'enthousiasme des développeurs envers la machine qui paraissait avoir un avenir assez incertain. Résultat : peu de bons jeux, ce qui est vraiment dommage car la console promettait vraiment lors de sa sortie... Dans l'ensemble, même si quelques jeux sont assez impressionnants (ils l'étaient largement à l'époque), tels que Cybermorph pour la 3D ou Crescent Galaxy pour la 2D, on trouve des jeux d'une qualité un peu meilleure que les 16bits mais tout juste... Les jeux 3D sont en général non texturés, ce qui les rend moches à souhait. Mais que dire d'une partie de Tempest 2000 sinon que ce sont des heures passées sur un énorme jeu !


Atari Jaguar CD

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Prix : 149.99 dollars
Année : Septembre 1995
Rareté : Très rare

La Jaguar CD n’est pas à proprement parler une console de jeux, puisque ce n’est en réalité que le support CD-Rom dédié à la fameuse 64 bits d’Atari.
Un tel accessoire n’est pas très étonnant. La console offre une puissance assez impressionnante pour l’époque, mais le support cartouche ne lui rend pas vraiment honneur.

Beaucoup plus chères qu’un CD et embarquant un nombre bien plus limité de données, les cartouches auraient dû s’effacer devant l’avènement du CD-Rom… Encore une fois avec cette console, les gens de chez Atari vont tout faire en dépit du bon sens.
Annoncé pour l’été 1994, il ne sortira finalement qu’après de nombreux retards, en septembre 1995. En France, c’est même la console qui peine à sortir, prouvant qu’Atari est clairement en perte de vitesse. On trouvera donc très peu de modèles dans l’hexagone. Pourtant, à 150 dollars, l’argument du prix est vraiment excellent.

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Le jaguar CD s'intègre parfaitement à la console.

Esthétiquement, le module se clapse sur le port cartouche. Afin d’éviter de switcher entre ce support CD et les vieilles cartouches de jeu, un second port cartouche est intégré à l’arrière. Une fois encore, pas de protection contre la poussière pour les contacteurs. Le tout s’intègre par contre de fort belle manière.
Techniquement, la machine est assez étonnante. Le lecteur CD est un classique double vitesse, mais il n’est pas compatible avec la norme standard (ISO-9660). Pour lire les pistes, les programmeurs doivent placer la tête de lecture directement sur le disque, comme si c’était un simple disque audio ! De plus, la gestion des erreurs ne se faisait pas puisque c’était un simple lecteur audio. L’avantage est qu’il y a plus de place (790 Mo) que sur un CD-Rom à la norme… Mais quelle plaie pour les développeurs qui doivent alors rivaliser d’ingéniosité pour éviter que tout ne foire ! Pour vous donner une idée : avec les premiers kits, pour localiser un fichier sur le CD, il fallait le faire en heures / minutes / secondes. Je vous laisse imaginer les crises de nerfs en séries que cela a pu engendrer.

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Boite du Jaguar CD.

Le kit de développement n’est pas une flèche non plus, et comme la durée de vie du support a été extrêmement réduite, ce dernier n’a pas pu être amélioré comme il se doit. Par exemple, pour se mettre à l’œuvre, il fallait une Jaguar Customisée, un Falcon (pour émuler le CD), un Mac (pour encoder en Cinepak) et un PC. Rien que ça !
Pour revenir à Cinepak, c’est tout simplement un codec assez bien foutu qu’Atari a racheté à une entreprise externe… Le problème c’est qu’il est très gourmand et ne laisse plus assez de mémoire pour permettre d’encoder des jeux dignes de ce nom. D’autres codecs, développés maison, on donc vu le jour chez les courageux qui ont persévéré pour apporter leur pierre à l’édifice de la Jaguar CD.
Les jeux CD ne pouvant bien entendu pas être sauvegardé, des cartouches mémoires ont été vendues afin de permettre d’effectuer des sauvegardes. Pour des jeux comme Myst, ce n’est vraiment pas du luxe !

Aucun jeu n’est présent en ROM, si ce n’est un player audio couplé à ce qu’Atari appelle le VLM (Virtual Light Machine), un petit programme qui génère des figures géométriques sur le rythme de la musique. C’est très limité mais visuellement vraiment sympa.
La machine est livrée avec un pack de quatre CD. On passe bien vide sur la bande originale de Tempest pour voir les jeux. Vid Grid est clairement présent pour en mettre plein la vue. Simple puzzle game où il faut reconstituer non plus une image mais carrément une vidéo à partir de carré séparés (comme un rubixcube simple face), c’est techniquement très bon mais ludiquement très limité.
Blue Lightening est un jeu de shoot avec une vue en profondeur. Les vidéos d’intro sont impressionnantes, mais le jeu ne fait finalement pas vraiment honneur au support et se place au niveau de la moyenne de la logithèque Jaguar, c'est-à-dire très médiocre.
Le plus intéressant vient bien entendu de la démo de Myst, l’un des seuls jeux du support à être réellement intéressant (avec Highlander, un jeu d’aventure reprenant la moteur d’Alone In The Dark). La version complète est bien entendue sortie, mais il faut alors l’acheter à part.
Beaucoup de jeux sont annoncés, mais Atari va mettre la clé sous la porte très rapidement et beaucoup resteront inachevés. Certains sortiront quelques années après la mort de la machine grâce à la hargne de certains fans très méritants, tandis que d’autres resterons inconnus à jamais de nos petits doigts moites d’excitation.

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Les jeux vendus avec le Jaguar CD. Seul Myst vaut le coup mais ce n'est qu'une simple démo.

Un petit mot sur la protection des CD. Il paraitrait qu’ils sont gravés bizarrement afin d’empêcher la copie. Actuellement, il semble qu’il n’y a aucun problème pour faire des sauvegardes de ses jeux. Les graveurs et logiciels actuels acceptent bien les choses sans rechigner.
Enfin, il faut savoir que cet accessoire n’est pas zoné, vous pouvez donc sans soucis faire tourner des jeux américains ou de n’importe quel pays.

Alors, la Jaguar CD, une console aussi mauvaise que sa grande sœur à cartouches ? Non, elle est bien pire. J’entends déjà les amateurs de Jaguar hurler à la mort, et ils n’ont pas tord. Je m’explique donc.
La Jaguar d’Atari n’est pas techniquement une mauvaise console, elle a simplement pâti durement de l’incompétence latente de pas mal de pontes de la firme, ainsi que d’un manque de moyens flagrant. Ce qui fait une console, ce sont les jeux, et là, le fait est qu’à part quelques exceptions, le tout est très moyen.
Pour la version CD, c’est la même chose poussée à son paroxysme : plus d’erreurs, moins d’argent… bref, plus près de la fin. Le tout épaulé par des problèmes techniques que la version cartouche n’avait pas (le kit de développement était très limité mais restait correct, ce qui n’est pas le cas de la version CD), il n’en fallait pas plus pour précipiter cette machine dans les limbes.
Un beau gâchis, qui explique certainement l’attitude extrémiste de certains joueurs de l’époque.


Atari Super Pong (C-140)

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Microprocesseur : C010073-01 pong-in-a-chip
Vidéo : Noir et blanc
Année : 1976
Rareté : Très rare

En 1976, Atari continue sur sa lancée. Et il faut reconnaître qu’il est en avance. Magnavox l’a bien devancé en sortant son Odyssee en 1972, mais la machine ne connaît pas un grand succès. Cela est très certainement dû au fait que beaucoup de monde pense que la machine ne fonctionne que sur les téléviseurs de marque Magnavox. De plus, la console de Magnavox n’est pas très bien distribuée.
C’est Sears, après avoir passé un contrat avec Atari pour sortir une machine sous licence, qui permet de faire connaître le système au grand public en produisant sous sa marque – Tele-Games – des Atari Pong. Fort d’un réseau de distribution de 700 magasins disséminés dans tous les Etats-Unis, la force de frappe est de taille. Fort de ce succès, Atari lance en 1976 ses propres versions de Pong. Le Super Pong en est donc la seconde version, sortie quelques mois plus tard.
La concurrence commence à sortir ses propres versions, mais elles sont beaucoup plus simplistes. En effet, ces clones utilisent généralement des jeux de composants simples, ne permettant pas de fioritures. En réalisant un Pong basé sur une puce faite maison, les ingénieurs de chez Atari – principalement Alan Alcorn, Harold Lee et Bob Brown – ont réussi la prouesse de fabriquer une machine bien plus attractive que la concurrence tout en restant dans la même gamme de prix. Ainsi, les machines d’Atari bénéficient de sons plus travaillés et surtout du comptage des points à l’écran.

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La Super Pong dans son ensemble.

Le premier Atari Pong ne proposait qu’un jeu : le Pong classique, tennis simplifié avec deux rectangles de chaque côté de l’écran qui s’échangent une balle carrée. Cette nouvelle version propose maintenant quatre jeux. Ces deniers sont depuis devenus des classiques, et repris à outrance par la concurence.
Le design imaginé par Harold Lee pour la première version en 1973 reste sensiblement la même. Cela permet de baisser les coûts de production. Ainsi, seules les étiquettes et la boîte changent.
Il est à noter que le Super Pong est aussi sorti sous la marque Sears sous le même nom. Contrairement à la version Atari, les manettes sont détachables, ce qui se révèle à l’usage bien plus pratique.
Au niveau des branchements, l’image se fait bien entendu par l’UHF. On peut brancher la machine par un adaptateur secteur, mais aussi par piles. Le compartiment permettant de les mettre n’est d’ailleurs pas évident à trouver du premier coup d’œil : il faut tout simplement enlever l’ensemble de la plaque du dessous de la machine pour pouvoir mettre les quatre grosses piles servant à alimenter la chose. Le tout est assez peu pratique.

Une machine mythique qui, bien que n’étant pas la première, dispose d’une place de choix dans le cœur de tous les nostalgiques et autres collectionneurs. Sortie uniquement aux Etats-Unis, elle est assez difficile à trouver par chez nous.


Suite dans une prochaine partie pour éviter de surcharger le post.

Pour plus d'informations, rendez-vous sur: Obsolete Tears.
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eqlazare
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Message par eqlazare »

Firestom a écrit :Mais du DATA, n'importe quelle sorte de DATA, peut être copié d'un endroit à l'autre même s'il est illisible avec un ordinateur. De plus, sur Gamecube, on utilise toujours des données hexadécimales, alors il suffit seulement de pouvoir le décoder et le tour est joué, un émulateur PC qui joue des jeux Gamecube. Alors je vais en venir à ma conclusion: Nintendo a voulu passé à la nouvelle technologie tout en amoindrissant les temps de chargement, qui était la marque de commerce de Nintendo.
ecoute je dis pas que t'a tort, t'a meme surement raison, mais la raison invoquée par nintendo a l'epoque c'etait bien le piratage.
je lisais console+ a l'epoque et, bah, c'est ce qu'ils disaient.

bon c'est clair que le langage marketing faut s'en mefier (c'est souvent du pipeau) mais ma foi, je trouvais pas ca si illogique.
a l'epoque playstation, le piratage c'etait industriel, tout le monde avait des jeux gravés (mon frere le premier ^^)
ca a du faire tres peur a nintendo.
j'imagine qu'un format special ou tu trouves pas les cd (faut pas des graveurs speciaux aussi?) dans le commerce ca limite le piratage, du moins pas avec une telle ampleur.
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Kyubi
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Message par Kyubi »

Vous vous souvenez sans doute de la vidéo sur le mec qui finissait Super Mario Bros en 5 min.

Et bien là, c'est Super Mario Bros 3, en 11 min, et c'est beaucoup plus impressionnant.

Et là Bogue2kw tu peux vraiment dire que c'est un coréen!
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Message par Miacis »

Kyubi a écrit :Vous vous souvenez sans doute de la vidéo sur le mec qui finissait Super Mario Bros en 5 min.

Et bien là, c'est Super Mario Bros 3, en 11 min, et c'est beaucoup plus impressionnant.

Et là Bogue2kw tu peux vraiment dire que c'est un coréen!
Et je dirais même plus :
# Super Mario 64 for Nintendo 64 (0:19:47)
# Super Mario All-Stars for Super Nintendo (0:18:05)
# Super Mario Bros. for NES (0:05:00)
# Super Mario Bros. 2 for NES (0:09:15)
# Super Mario Bros. 3 for NES (0:11:03)
# Super Mario Land for Game Boy (0:14:25)
# Super Mario Land 2: 6 Golden Coins for Game Boy (0:32:06)
# Super Mario RPG: Legend of the Seven Stars for Super Nintendo (3:57:xx)
# Super Mario Sunshine for GameCube (1:59:49)
# Super Mario World for Super Nintendo (0:11:01)
# Super Mario World 2: Yoshi's Island for SNES/GBA (1:58:14)


La liste est longue ...
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Message par Kyubi »

La vidéo sur le record de vitesse de Super Mario Bros 3:

http://fr.youtube.com/watch?v=J31klTM6q78
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spatule spatiale

Message par spatule spatiale »

Hallucinant. Pas la moindre erreur,ce serait pas fait avec un TAS par hasard?
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Message par Kyubi »

spatule spatiale a écrit :Hallucinant. Pas la moindre erreur,ce serait pas fait avec un TAS par hasard?
Non. C'est vraiment incroyable le temps qu'il a fallu au mec pour arriver à un tel résultat.

Le mieux c'est qu'il fini avec 99 vies, le maximum! :)
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Message par Firestom »

Kyubi a écrit :
spatule spatiale a écrit :Hallucinant. Pas la moindre erreur,ce serait pas fait avec un TAS par hasard?
Non. C'est vraiment incroyable le temps qu'il a fallu au mec pour arriver à un tel résultat.

Le mieux c'est qu'il fini avec 99 vies, le maximum! :)
Ah là! Ce qu'il a du s'entraîner! Mais je crois qu'il a fait ça avec TAS mais qu'il n'a pas donné le crédit nécéssaire.
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Message par Kyubi »

Allez hop.

Je remonte ce topic des entrailles du forum pour peut-être le faire revivre. J'y ai passé tellement de temps que je n'ai pas forcément envie de le laisser mourir. Et puis les articles ici présents sont quand même plutôt intéressants, non?

Donc si des personnes se sentent assez courageuse pour elle-même faire des articles nouveaux, je les y encourage!
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