De la Nes à la Wii: que retenir?
Ah combien de pages auront nous droitKyubi a écrit :Merci. Ca fait vraiment plaisir et c'est super encourageant.
Et puis je me donne pas de mal, j'adore faire des trucs comme ça. Vous pouvez pas vous imaginez tout ce que j'ai pu apprendre d'intéressant pendant ces trois jours où j'ai fait ces dossiers et je vous les raconter du mieux que j'ai pu.
Et c'est loin d'être fini car on n'est qu'au tout début de l'ère Nintendo, dans ce topic en tout cas.
!!Le dossier N64 pèsera lourd !
Vu le temps que tu doit mettre pour nous pondre ces dossies aussi, t'a peut être pas que ça à faire !Kyubi a écrit :Je préviens que je serais sans doute dans l'incapacité d'écrire des dossiers aujourd'hui et demain. Aujourd'hui car mon ordi marche pas et demain car je suis pas là. Voila c'est tout.
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Kyubi
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Il ne faut pas oublier le superscope de la SNES qui jouait la même fonction. Mais c'est vrai que sur 64 et gamecube on n'a pas eu d'accessoires si particuliers à Nintendo à l'époque NES/SNES et c'est bien dommage.Trashy a écrit :Ce que je trouve byzarre c est que en 87 Nintendo inventa duck hunt , avec un flingue qui permettai de tirer sur l ecran .. et que c est que en 2007 qui la resorti sous la forme d une manette ..
Sur wii, c'est la wiimote qui joue ce role bien que je ne sois pas sur que les sensations soient les mêmes. Elles sont différantes et pas dans le bon sens. Après reste à savoir si le wiizapper améliore cette sensation.
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Kyubi
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2007: la mort définitive de la NES.
La news PN sur la fin définitive de la NES m'a bien surpris car j'ignorais qu'on pouvait encore la faire réparer par Nintendo.
Cette news est en quelque sorte la cloture définitive de la partie NES.
Pour lire cette news cliquer sur le lien ci-dessus ou allez ici.
La news PN sur la fin définitive de la NES m'a bien surpris car j'ignorais qu'on pouvait encore la faire réparer par Nintendo.
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La Nintendo 64: le début d'une longue chute.
La Nintendo 64 fut la première console Nintendo a proposé des graphismes en 3D. Malgré ses jeux mythiques, elle ne s'impose pas et c'est le début d'une longue chute pour Nintendo.
Caractéristiques techniques
Microprocesseur: R3300i RISC 64 bits à 93.75 MHz
Mémoire vive: 4,5 Mo (extensible avec la Ram-Pack)
Vidéo: 256 *224 à 640 *480 points en 4 millions de couleurs
Son: 16 bits 44.1 KHz, 24 voix
Prix: 1 490 Frs (227€)
Histoire
Année: 1er Septembre 1996 en France
Rareté: Très Courant
Début 1993, les annonces de consoles de nouvelle génération commencent à pleuvoir. Sony annonce ainsi sa Playstation alors que du côté de Sega c’est la Saturn qui se profile à l’horizon. Nintendo se doit donc de répondre à tout cela. Ce sera fait en dévoilant le Project Reality.
Avec cette nouvelle console, Nintendo tranche radicalement avec ses habitudes puisque le développement ne se fera pas uniquement en interne. La course aux technologies allant de plus en plus vite, il est impossible pour une firme de développer la meilleure technologie sans aide extérieure. Le 23 août 1993, le président de Nintendo Of America annonce : « Nous nous sommes associés à Silicon Graphics pour mettre entre les mains des joueurs une nouvelle génération de consoles de jeux qui aura la puissance d’un superordinateur. » Bien entendu, il faut se méfier : les photos présentées à l’appui montrent des représentations frôlant la réalité virtuelle.
Ce n’est pas très étonnant puisque ce ne sont que de simples images de synthèse prises sur les stations de travail Silicon Graphics : les journalistes n’ont absolument aucune photo ayant rapport avec la bête à proposer à leurs lecteurs. On retrouvera ainsi dans certains magazines spécialisés des photos du T1000 de Terminator 2, puisque les effets spéciaux du film de James Cameron ont été réalisés à l’aide de ce genre d’ordinateurs.
Autre point important, Nintendo affirme ne pas croire en l’ère des 32 bits, il annonce donc que sa console assurera la relève plus rapidement que prévu, du haut de ses 64 bits. Au niveau du média, une fois encore Nintendo surprendra son monde, mais pas forcément dans le bon sens. Plutôt que d’utiliser un support CD-Rom, la firme au plombier préfère se tourner du côté de la cartouche habituelle, prétextant que le CD n’est pas encore assez bien maîtrisé. La cartouche embarque certes moins de données (on annonce 250 Mbits avec une moyenne de 100 Mbits, soit environ 12,5 Mo), mais elle permet de ne pas avoir de temps de chargements. Temps qui feront rage sur les 32 bits de la concurrence.
Mais est-ce réellement un bon choix ? On imagine aisément que cela a surtout été fait pour limiter au maximum le piratage, et permettre à Nintendo de garder la main mise sur les royalties de production de ses cartouches. Dans tous les cas, il en résulte que les jeux seront beaucoup plus chers sur Nintendo 64 que sur Playstation ou Saturn.
Goldeneye, ou comment un FPS console peut être grandiose!
La console doit sortir en 1995. Par contre, il est annoncé qu’elle sera disponible dès la fin 1994 dans les salles d’arcade, sous forme de borne dont le hardware sera un dérivé de celui de la version console. Finalement le format sera très peu utilisé et en dehors de Cruisin’ USA et surtout de Killer Instinct, on n’en entendra que très peu parler. Beaucoup affirment que cette annonce n’a été faite que pour permettre à Nintendo de faire patienter les joueurs.
Pour ce qui est de la console en elle-même, on annonce un prix de 250 dollars. Le retard s’accentue, et en novembre 1995 le design final est présenté, sous le nom d’Ultra 64. La date de sortie japonaise est fixée au mois suivant tandis que les Etats-Unis l’auront en Avril 1996. L’Europe est comme toujours bonne dernière ou on annonce une sortie peu après la version américaine.
Le retard s’accumule pour finalement annoncer la sortie américaine en septembre 1996, en même temps que le nom définitif de Nintendo 64. Nintendo affirme que ce retard est dû à l’impossibilité de produire assez de console pour tout le monde lors de la sortie. L’idée est sympa, contrairement à Sony qui ne se posera jamais ce genre de questions. Mais de là à connaître la véracité de ces dires…
A trop repousser la sortie de son produit, Nintendo va produire un clash qui lui coûtera très cher. En effet, Squaresoft, l’éditeur de Final Fantasy entre autre, annonce qu’il ne développera pas le prochain épisode de la série sur Nintendo 64 mais sur une console de la concurrence : la Playstation. La raison est simple : d’une part le retard accumulé pour la sortie fait que Square ne peut plus attendre, et d’autre part le support cartouche n’était pas adapté au jeu. Quand on voit les cinématiques de Final Fantasy VII, on comprend pourquoi.
La sortie du jeu est un carton phénoménal, il contribuera même grandement à démocratiser le genre RPG en Europe, alors qu’il était jusque là très peu répandu. Un gros point noir pour Nintendo qui, déjà décrédibilisé par des dates de sortie non respectées et sans cesse repoussées, va voir passer sous son nez un jeu qui aurait à lui seul justifié l’achat de la console.
Finalement, le Japon voit arriver la console en septembre 1996. Les ventes sont tout de même très correctes. Cela revient principalement à un jeu : le Mario 64. Premier Mario en 3D, le passage se fait avec une grande maîtrise. Addictif au possible, il va scotcher pas mal de monde. La manette et son stick analogique se révèle elle aussi extrêmement bien adaptée au genre. Nintendo confirme ainsi son aptitude à créer des manettes très confortables. Par contre, elle est très peu pratique pour certaines cartouches, comme les jeux de baston. Ces derniers étant très peu courants sur la 64 bits de Nintendo, cela n’est pas gênant.
La sortie américaine ne sera pas trop repoussée. Par contre il faut attendre 1997 pour voir arriver la console en France. Les magazines utilisent alors très souvent le mot « Arlésienne » pour parler de la machine…
Lors de sa sortie, Nintendo annonce haut et fort que c’est la première 64 bits de l’histoire des jeux vidéo. Les amateurs (ou même connaisseurs, il ne faut pas exagérer) d’Atari Jaguar comprendront que ce n’est pas le cas, même si la nouvelle venue est bien plus puissante dans la pratique.
La manette Nintendo 64 est parfaite pour le jeu en 3D.
La manette est bonne, la console puissante, tout semble aller pour le mieux finalement… Pourtant les premiers tests annoncent haut et fort la désormais légendaire lacune de la machine : ses graphismes tellement lissés qu’ils en deviennent flous, et le sale effet de brouillard qui donne sans arrêt l’impression de visiter Londres en plein hivers.
Ces défauts seront en partie corrigés avec le temps : les développeurs apprenant à se servir de la console, l’effet de brouillard se dissipera, tandis que la finesse des graphismes sera permise par le Ram Pack qui ajoute de la mémoire vive. Seulement quelques jeux requerront cet accessoire, mais la plupart du temps ce sont des indispensables : Donkey Kong, Perfect Dark (la suite du génial Goldeneye) ou encore Zelda Majorah’s Mask.
Du côté des accessoires, un port sous la manette peut accueillir un Rumble Pack, qui permet de faire vibrer la manette selon les actions effectuées : une première réellement impressionnante. Il est aussi possible de mettre une carte mémoire, mais cela est inutile puisque les jeux étant sur cartouche, ils embarquent tous une pile de sauvegarde.
La Nintendo 64, console trop enfantine?
Un petit mot aussi sur l’image de Nintendo et d’un jeu OVNI. La 64 traine le boulet d’être une console pour enfants. Quand on voit des jeux comme Yoshi Story et ses graphismes tout simples mais si mignons, cela n’est pas étonnant. C’est totalement assumé par Nintendo qui privilégie l’originalité à l’aspect mature. Cela permet aussi à la console d’être dans une niche que la concurrence n’envisage que très peu.
Par contre, il faut noter la sortie d’un jeu qui va totalement changer cette donne : Conker’s Bad Fur Day. Développé par la prestigieuse équipe de Rareware – à qui on doit entre autre Goldeneye – le jeu va jeter un sacré pavé dans la marre. Parti pour être un petit jeu de plate-forme mettant en scène un écureuil tout mimi dans le genre de Mister Nutz sur Super Nintendo, les développeurs vont totalement péter les plombs pour sortir l’un des jeux les plus trash de l’histoire des jeux vidéo.
Le gentil écureuil change alors de personnalité et devient un alcoolique notoire qui tape un blanc et se perd après avoir vomi au sortir du troquet. A vous de lui montrer le bon chemin pour rentrer au bercail. Premier objectif : trouver un cacheton pour stopper la gueule de bois. Vous imaginez le type d’humour que l’on y trouve. Génial, et tout simplement indispensable. Le jeu sera d’ailleurs adapté sur Xbox en 2005.
La folie pokémon commence!
Très décriée, la Nintendo 64 s’est tout de même vendue à près de trente millions d’exemplaires. Un demi-echec pour Nintendo, qui se rattrapera grandement avec la folie Pokemon qui commence à pointer le bout de son nez sur Game Boy.
La Nintendo 64 fut la première console Nintendo a proposé des graphismes en 3D. Malgré ses jeux mythiques, elle ne s'impose pas et c'est le début d'une longue chute pour Nintendo.
Caractéristiques techniques
Microprocesseur: R3300i RISC 64 bits à 93.75 MHz
Mémoire vive: 4,5 Mo (extensible avec la Ram-Pack)
Vidéo: 256 *224 à 640 *480 points en 4 millions de couleurs
Son: 16 bits 44.1 KHz, 24 voix
Prix: 1 490 Frs (227€)
Histoire
Année: 1er Septembre 1996 en France
Rareté: Très Courant
Début 1993, les annonces de consoles de nouvelle génération commencent à pleuvoir. Sony annonce ainsi sa Playstation alors que du côté de Sega c’est la Saturn qui se profile à l’horizon. Nintendo se doit donc de répondre à tout cela. Ce sera fait en dévoilant le Project Reality.
Avec cette nouvelle console, Nintendo tranche radicalement avec ses habitudes puisque le développement ne se fera pas uniquement en interne. La course aux technologies allant de plus en plus vite, il est impossible pour une firme de développer la meilleure technologie sans aide extérieure. Le 23 août 1993, le président de Nintendo Of America annonce : « Nous nous sommes associés à Silicon Graphics pour mettre entre les mains des joueurs une nouvelle génération de consoles de jeux qui aura la puissance d’un superordinateur. » Bien entendu, il faut se méfier : les photos présentées à l’appui montrent des représentations frôlant la réalité virtuelle.
Ce n’est pas très étonnant puisque ce ne sont que de simples images de synthèse prises sur les stations de travail Silicon Graphics : les journalistes n’ont absolument aucune photo ayant rapport avec la bête à proposer à leurs lecteurs. On retrouvera ainsi dans certains magazines spécialisés des photos du T1000 de Terminator 2, puisque les effets spéciaux du film de James Cameron ont été réalisés à l’aide de ce genre d’ordinateurs.
Autre point important, Nintendo affirme ne pas croire en l’ère des 32 bits, il annonce donc que sa console assurera la relève plus rapidement que prévu, du haut de ses 64 bits. Au niveau du média, une fois encore Nintendo surprendra son monde, mais pas forcément dans le bon sens. Plutôt que d’utiliser un support CD-Rom, la firme au plombier préfère se tourner du côté de la cartouche habituelle, prétextant que le CD n’est pas encore assez bien maîtrisé. La cartouche embarque certes moins de données (on annonce 250 Mbits avec une moyenne de 100 Mbits, soit environ 12,5 Mo), mais elle permet de ne pas avoir de temps de chargements. Temps qui feront rage sur les 32 bits de la concurrence.
Mais est-ce réellement un bon choix ? On imagine aisément que cela a surtout été fait pour limiter au maximum le piratage, et permettre à Nintendo de garder la main mise sur les royalties de production de ses cartouches. Dans tous les cas, il en résulte que les jeux seront beaucoup plus chers sur Nintendo 64 que sur Playstation ou Saturn.
Goldeneye, ou comment un FPS console peut être grandiose!
La console doit sortir en 1995. Par contre, il est annoncé qu’elle sera disponible dès la fin 1994 dans les salles d’arcade, sous forme de borne dont le hardware sera un dérivé de celui de la version console. Finalement le format sera très peu utilisé et en dehors de Cruisin’ USA et surtout de Killer Instinct, on n’en entendra que très peu parler. Beaucoup affirment que cette annonce n’a été faite que pour permettre à Nintendo de faire patienter les joueurs.
Pour ce qui est de la console en elle-même, on annonce un prix de 250 dollars. Le retard s’accentue, et en novembre 1995 le design final est présenté, sous le nom d’Ultra 64. La date de sortie japonaise est fixée au mois suivant tandis que les Etats-Unis l’auront en Avril 1996. L’Europe est comme toujours bonne dernière ou on annonce une sortie peu après la version américaine.
Le retard s’accumule pour finalement annoncer la sortie américaine en septembre 1996, en même temps que le nom définitif de Nintendo 64. Nintendo affirme que ce retard est dû à l’impossibilité de produire assez de console pour tout le monde lors de la sortie. L’idée est sympa, contrairement à Sony qui ne se posera jamais ce genre de questions. Mais de là à connaître la véracité de ces dires…
A trop repousser la sortie de son produit, Nintendo va produire un clash qui lui coûtera très cher. En effet, Squaresoft, l’éditeur de Final Fantasy entre autre, annonce qu’il ne développera pas le prochain épisode de la série sur Nintendo 64 mais sur une console de la concurrence : la Playstation. La raison est simple : d’une part le retard accumulé pour la sortie fait que Square ne peut plus attendre, et d’autre part le support cartouche n’était pas adapté au jeu. Quand on voit les cinématiques de Final Fantasy VII, on comprend pourquoi.
La sortie du jeu est un carton phénoménal, il contribuera même grandement à démocratiser le genre RPG en Europe, alors qu’il était jusque là très peu répandu. Un gros point noir pour Nintendo qui, déjà décrédibilisé par des dates de sortie non respectées et sans cesse repoussées, va voir passer sous son nez un jeu qui aurait à lui seul justifié l’achat de la console.
Finalement, le Japon voit arriver la console en septembre 1996. Les ventes sont tout de même très correctes. Cela revient principalement à un jeu : le Mario 64. Premier Mario en 3D, le passage se fait avec une grande maîtrise. Addictif au possible, il va scotcher pas mal de monde. La manette et son stick analogique se révèle elle aussi extrêmement bien adaptée au genre. Nintendo confirme ainsi son aptitude à créer des manettes très confortables. Par contre, elle est très peu pratique pour certaines cartouches, comme les jeux de baston. Ces derniers étant très peu courants sur la 64 bits de Nintendo, cela n’est pas gênant.
La sortie américaine ne sera pas trop repoussée. Par contre il faut attendre 1997 pour voir arriver la console en France. Les magazines utilisent alors très souvent le mot « Arlésienne » pour parler de la machine…
Lors de sa sortie, Nintendo annonce haut et fort que c’est la première 64 bits de l’histoire des jeux vidéo. Les amateurs (ou même connaisseurs, il ne faut pas exagérer) d’Atari Jaguar comprendront que ce n’est pas le cas, même si la nouvelle venue est bien plus puissante dans la pratique.
La manette Nintendo 64 est parfaite pour le jeu en 3D.
La manette est bonne, la console puissante, tout semble aller pour le mieux finalement… Pourtant les premiers tests annoncent haut et fort la désormais légendaire lacune de la machine : ses graphismes tellement lissés qu’ils en deviennent flous, et le sale effet de brouillard qui donne sans arrêt l’impression de visiter Londres en plein hivers.
Ces défauts seront en partie corrigés avec le temps : les développeurs apprenant à se servir de la console, l’effet de brouillard se dissipera, tandis que la finesse des graphismes sera permise par le Ram Pack qui ajoute de la mémoire vive. Seulement quelques jeux requerront cet accessoire, mais la plupart du temps ce sont des indispensables : Donkey Kong, Perfect Dark (la suite du génial Goldeneye) ou encore Zelda Majorah’s Mask.
Du côté des accessoires, un port sous la manette peut accueillir un Rumble Pack, qui permet de faire vibrer la manette selon les actions effectuées : une première réellement impressionnante. Il est aussi possible de mettre une carte mémoire, mais cela est inutile puisque les jeux étant sur cartouche, ils embarquent tous une pile de sauvegarde.
La Nintendo 64, console trop enfantine?
Un petit mot aussi sur l’image de Nintendo et d’un jeu OVNI. La 64 traine le boulet d’être une console pour enfants. Quand on voit des jeux comme Yoshi Story et ses graphismes tout simples mais si mignons, cela n’est pas étonnant. C’est totalement assumé par Nintendo qui privilégie l’originalité à l’aspect mature. Cela permet aussi à la console d’être dans une niche que la concurrence n’envisage que très peu.
Par contre, il faut noter la sortie d’un jeu qui va totalement changer cette donne : Conker’s Bad Fur Day. Développé par la prestigieuse équipe de Rareware – à qui on doit entre autre Goldeneye – le jeu va jeter un sacré pavé dans la marre. Parti pour être un petit jeu de plate-forme mettant en scène un écureuil tout mimi dans le genre de Mister Nutz sur Super Nintendo, les développeurs vont totalement péter les plombs pour sortir l’un des jeux les plus trash de l’histoire des jeux vidéo.
Le gentil écureuil change alors de personnalité et devient un alcoolique notoire qui tape un blanc et se perd après avoir vomi au sortir du troquet. A vous de lui montrer le bon chemin pour rentrer au bercail. Premier objectif : trouver un cacheton pour stopper la gueule de bois. Vous imaginez le type d’humour que l’on y trouve. Génial, et tout simplement indispensable. Le jeu sera d’ailleurs adapté sur Xbox en 2005.
La folie pokémon commence!
Très décriée, la Nintendo 64 s’est tout de même vendue à près de trente millions d’exemplaires. Un demi-echec pour Nintendo, qui se rattrapera grandement avec la folie Pokemon qui commence à pointer le bout de son nez sur Game Boy.
Dernière modification par Kyubi le dim. 11 nov. 2007 - 12:58, modifié 1 fois.
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Halouc
- Silicon Mario
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- Inscription : dim. 02 mars 2003 - 17:25
- Localisation : Rennes (Bretagne)
Oui sur les consoles de salon mais dans l'ensemble on peu ne pas oublié la Virtual Boy sortie avant la N64.Kyubi a écrit :Ah bon? Pourtant en terme de console de salon il me semble que c'est la 64 leur premier échec. Enfin dis-moi lequel que je corrige cette affreuse erreur.Halouc a écrit :La N64 n'est pas le premier echec...
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Kyubi
- Silver Mario
- Messages : 6860
- Inscription : lun. 09 juil. 2007 - 09:22
- Localisation : Nantes ou La Tourlandry. (y)
Ah oui la Virtual Boy... Elle est peu connue, je n'en ai pas pris compte mais je corrige quand même cette erreur. Merci de ton aideHalouc a écrit :Oui sur les consoles de salon mais dans l'ensemble on peu ne pas oublié la Virtual Boy sortie avant la N64.Kyubi a écrit :Ah bon? Pourtant en terme de console de salon il me semble que c'est la 64 leur premier échec. Enfin dis-moi lequel que je corrige cette affreuse erreur.Halouc a écrit :La N64 n'est pas le premier echec...
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Firestom
- Mario Bros
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- Inscription : dim. 07 oct. 2007 - 02:56
- Localisation : Granby, Québec, Canada
Je vais donner mes impressions sur certains jeux
Sur NES, Super Mario Bros a été un point tournant puisqu'il était le premier jeu à montrer vraiment une aventure.
NES - Duck Hunt a été le premier jeu décént à introduire un accessoire "autre" à une console.
NES - Metroid a introduit le sytème de mot de passe pour sauvegarder des jeux. Un des seul jeux à avoir suivi cette idée est Mega Man X (ou peut-être d'autres Mega Man avant?) et c'était le meilleur système, seulement des chiffres de 1 à 9.
NES - Super Mario Bros 3 a été le premier jeu à introduire une carte pour passer d'un niveau à l'autre, et le choix du prochain niveau était laissé à la discrétion du joueur. En plus, il a introduit des variantes de Mario adaptée à certaines situations, (Wrecking Crew, Tanooki, Frog)
Sur Super NES, Super Mario World comportait 96 niveaux, 9 boss différents (Koopalings, Bowser, et Reznor) et une infinité de passages à découvrir. Personne ne les a tous décoverts tout seul.
SNES - Super Metroid a marqué l'évolution d'une franchise très importante et a abandonné le système de mot de passe. Dommage.
SNES - Super Mario Kart a déféni les principes des jeux de course, même s'il reste unique en sa catégorie. Avec ses pistes variées et ses objets spéciaux, un incontournable.
SNES - Donkey Kong Country a introduit un système, communément appelé le 2.5 D ou Fake 3D aujourd'hui, qui consiste a donné un effet de profondeur à des images bi-dimensionnelles. Les deux opus suivants vont raffiner le concept.
la SNES a introduit une variété d'accessoires dont le SNES Zapper, la SNES Mouse et etc...
Sur Nintendo 64, le passage de la 2-D à la 3-D a été introduit. Le premier jeu en 3-D, Super Mario 64, a été un succès rententissant, en combinant trois autres aspects: Le principe des jeux de plateforme introduit avec SMB, la carte de SMB3 et les infinitées de secrets de SMW.
N64 - Mario Kart 64 a introduit les mêmes principes que SMK dans une troisième dimension, en changeant certains objets tel la coquile bleue.
N64 - Blast Corps a introduit des cartes très variées et des véhicules très différents. La diversité était au rendez-vous.
N64 - Legend Of Zelda : Ocarina of Time a importé Zelda dans l'univers tri-dimensionel. Un représente Zelda comme une enfant et on montre l'évolution de Link. De plus, la série Star Wars a du frappé aux portes, car Link se bat contre son côté obscur dans le Temple de l'eau.
N64 - Goldeneye 007 a réécrit les principes des jeux de tir subjectis (FPS) avec un moteur de jeu incroyablement bien fait. L'équipe de Rareware a repris le même moteur pour utiliser sur Perfect Dark.
N64 - Diddy Kong Racing a introduit un principe de jeu de course en permettant le choix de véhicules différents (Voiture, Hydroglisseur et Avion) adapté à différentes situations. De plus, il est un des rares jeux traduits en français aux USA à l'époque. De plus, les circuits étaient incroyablement bien faits et Wizpig était effrayant (rare pour un boss aujourd'hui!)
N64 - Super Smash Bros est un jeu de bataille comme plusieurs avant lui sauf qu'il inclut le principe de pourcentage de dommage au lieu de Stamina et inclut des objets aux tournures multiples.
N64 - Mario Tennis, Mario Golf etc... ont amené Mario dans une autre dimension en le faisant jouer aux sports.
Le Nintendo Gamecube a hébergé certains jeux innovateurs qui ont changé les lois appliquées jusqu'ici! Il ne s'agit plus de créer le jeu, mais de le diversifier.
GCN - Luigi Mansion a mit Luigi dans une maison hantée équipée seulement d'un aspirateur (tape à l'oeil) et en incluant certains personnages (Proffesseur E.Gadd) et en changeant la dimension de certains (Bowser et King Boo).
GCN - Super Mario Sunshine a suivi la lignée de Luigi Mansion, en incluant FLUDD, cet arrosoir de Gadd Technologies (cliché??) et en mettant Mario comme un méchant aux yeux du peuple. De plus, Star Wars a encore frappé, avec le Méchant Mario (côté obscur). Ça commence à venir répétitif.
GCN - Mario Kart : Double Dash permet aux joueurs de coopérer pour la première fois dans un jeu de course avec un conducteur et un lanceur d'item. Il inclut de nouveaux modes de bataille, dont le voleur de soleil et la bataille de bombes.
GCN - Super Smash Bros Melee reprend le principe du précédent opus en le garnissant de modes et d'options multiples. On n'a pas lésiné sur le glacage on peut dire.
DS - La DS permet aux joueurs de partout dans le monde de jouer ensemble avec la fonction wi-fi. Les limites de la distance sont brisées.
Wii - On ajoute une dimension avec cette nouvelle console : La dimension du mouvement. Avec la manette hors-du-commun qui détecte les mouvements, les joueurs de jeux vidéos ne sont plus considérés comme paresseux. La wii utilise de la relation triangulaire de la sensor bar, qui émet des IR, de la manette, qui reçoit ce signal et le transmet à la console, qui le prends en charge avec la ROM.
Wii - Wii Sports est le premier jeu à utiliser cette technologie. Il inclut 5 sports, Tennis, Baseball, Bowling, Golf et Boxe, en plus d'inclure un mode d'entraînement et mode de test journalier.
Wii - Pokémon Battle Revolution est le premier jeu wii à inclure la wi-fi connection.
Wii - The Legend of Zelda : Twilight Princess est un jeu très réussi qui inclut Zelda dans environnement où ses attaques sont définies par des mouvements de la Wiimote.
Wii - Mario Galaxy définit de nouveau les jeux de plateforme en incluant une gravité centrale dans une sphère. Ceci est l'évolution de la démo de la Gamecube à E3 2001 qui présentait 128 Mario interagissant ensemble avec un terrain qui se déformait de plusieurs façons.
Wii - Super Smash Bros Brawl inclut de nouveaux modes et est le premier jeu de cette franchise inoubliable à être utilisé avec la connection Wi-fi.
Futur - Qui sait ce qu'il nous réserve?
Sur NES, Super Mario Bros a été un point tournant puisqu'il était le premier jeu à montrer vraiment une aventure.
NES - Duck Hunt a été le premier jeu décént à introduire un accessoire "autre" à une console.
NES - Metroid a introduit le sytème de mot de passe pour sauvegarder des jeux. Un des seul jeux à avoir suivi cette idée est Mega Man X (ou peut-être d'autres Mega Man avant?) et c'était le meilleur système, seulement des chiffres de 1 à 9.
NES - Super Mario Bros 3 a été le premier jeu à introduire une carte pour passer d'un niveau à l'autre, et le choix du prochain niveau était laissé à la discrétion du joueur. En plus, il a introduit des variantes de Mario adaptée à certaines situations, (Wrecking Crew, Tanooki, Frog)
Sur Super NES, Super Mario World comportait 96 niveaux, 9 boss différents (Koopalings, Bowser, et Reznor) et une infinité de passages à découvrir. Personne ne les a tous décoverts tout seul.
SNES - Super Metroid a marqué l'évolution d'une franchise très importante et a abandonné le système de mot de passe. Dommage.
SNES - Super Mario Kart a déféni les principes des jeux de course, même s'il reste unique en sa catégorie. Avec ses pistes variées et ses objets spéciaux, un incontournable.
SNES - Donkey Kong Country a introduit un système, communément appelé le 2.5 D ou Fake 3D aujourd'hui, qui consiste a donné un effet de profondeur à des images bi-dimensionnelles. Les deux opus suivants vont raffiner le concept.
la SNES a introduit une variété d'accessoires dont le SNES Zapper, la SNES Mouse et etc...
Sur Nintendo 64, le passage de la 2-D à la 3-D a été introduit. Le premier jeu en 3-D, Super Mario 64, a été un succès rententissant, en combinant trois autres aspects: Le principe des jeux de plateforme introduit avec SMB, la carte de SMB3 et les infinitées de secrets de SMW.
N64 - Mario Kart 64 a introduit les mêmes principes que SMK dans une troisième dimension, en changeant certains objets tel la coquile bleue.
N64 - Blast Corps a introduit des cartes très variées et des véhicules très différents. La diversité était au rendez-vous.
N64 - Legend Of Zelda : Ocarina of Time a importé Zelda dans l'univers tri-dimensionel. Un représente Zelda comme une enfant et on montre l'évolution de Link. De plus, la série Star Wars a du frappé aux portes, car Link se bat contre son côté obscur dans le Temple de l'eau.
N64 - Goldeneye 007 a réécrit les principes des jeux de tir subjectis (FPS) avec un moteur de jeu incroyablement bien fait. L'équipe de Rareware a repris le même moteur pour utiliser sur Perfect Dark.
N64 - Diddy Kong Racing a introduit un principe de jeu de course en permettant le choix de véhicules différents (Voiture, Hydroglisseur et Avion) adapté à différentes situations. De plus, il est un des rares jeux traduits en français aux USA à l'époque. De plus, les circuits étaient incroyablement bien faits et Wizpig était effrayant (rare pour un boss aujourd'hui!)
N64 - Super Smash Bros est un jeu de bataille comme plusieurs avant lui sauf qu'il inclut le principe de pourcentage de dommage au lieu de Stamina et inclut des objets aux tournures multiples.
N64 - Mario Tennis, Mario Golf etc... ont amené Mario dans une autre dimension en le faisant jouer aux sports.
Le Nintendo Gamecube a hébergé certains jeux innovateurs qui ont changé les lois appliquées jusqu'ici! Il ne s'agit plus de créer le jeu, mais de le diversifier.
GCN - Luigi Mansion a mit Luigi dans une maison hantée équipée seulement d'un aspirateur (tape à l'oeil) et en incluant certains personnages (Proffesseur E.Gadd) et en changeant la dimension de certains (Bowser et King Boo).
GCN - Super Mario Sunshine a suivi la lignée de Luigi Mansion, en incluant FLUDD, cet arrosoir de Gadd Technologies (cliché??) et en mettant Mario comme un méchant aux yeux du peuple. De plus, Star Wars a encore frappé, avec le Méchant Mario (côté obscur). Ça commence à venir répétitif.
GCN - Mario Kart : Double Dash permet aux joueurs de coopérer pour la première fois dans un jeu de course avec un conducteur et un lanceur d'item. Il inclut de nouveaux modes de bataille, dont le voleur de soleil et la bataille de bombes.
GCN - Super Smash Bros Melee reprend le principe du précédent opus en le garnissant de modes et d'options multiples. On n'a pas lésiné sur le glacage on peut dire.
DS - La DS permet aux joueurs de partout dans le monde de jouer ensemble avec la fonction wi-fi. Les limites de la distance sont brisées.
Wii - On ajoute une dimension avec cette nouvelle console : La dimension du mouvement. Avec la manette hors-du-commun qui détecte les mouvements, les joueurs de jeux vidéos ne sont plus considérés comme paresseux. La wii utilise de la relation triangulaire de la sensor bar, qui émet des IR, de la manette, qui reçoit ce signal et le transmet à la console, qui le prends en charge avec la ROM.
Wii - Wii Sports est le premier jeu à utiliser cette technologie. Il inclut 5 sports, Tennis, Baseball, Bowling, Golf et Boxe, en plus d'inclure un mode d'entraînement et mode de test journalier.
Wii - Pokémon Battle Revolution est le premier jeu wii à inclure la wi-fi connection.
Wii - The Legend of Zelda : Twilight Princess est un jeu très réussi qui inclut Zelda dans environnement où ses attaques sont définies par des mouvements de la Wiimote.
Wii - Mario Galaxy définit de nouveau les jeux de plateforme en incluant une gravité centrale dans une sphère. Ceci est l'évolution de la démo de la Gamecube à E3 2001 qui présentait 128 Mario interagissant ensemble avec un terrain qui se déformait de plusieurs façons.
Wii - Super Smash Bros Brawl inclut de nouveaux modes et est le premier jeu de cette franchise inoubliable à être utilisé avec la connection Wi-fi.
Futur - Qui sait ce qu'il nous réserve?
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yoann007
et juste avant la N64, le projet Playstation c'est probablement un des plus gros échecs de Nintendo... (ça lui a juste fait perdre le leadership après tout)Halouc a écrit :Oui sur les consoles de salon mais dans l'ensemble on peu ne pas oublié la Virtual Boy sortie avant la N64.Kyubi a écrit :Ah bon? Pourtant en terme de console de salon il me semble que c'est la 64 leur premier échec. Enfin dis-moi lequel que je corrige cette affreuse erreur.Halouc a écrit :La N64 n'est pas le premier echec...
Ce n'est pas vraiment un échec, puisque le projet Playstatio EST sortie, mais par Sony!yoann007 a écrit :et juste avant la N64, le projet Playstation c'est probablement un des plus gros échecs de Nintendo... (ça lui a juste fait perdre le leadership après tout)Halouc a écrit :Oui sur les consoles de salon mais dans l'ensemble on peu ne pas oublié la Virtual Boy sortie avant la N64.Kyubi a écrit :Ah bon? Pourtant en terme de console de salon il me semble que c'est la 64 leur premier échec. Enfin dis-moi lequel que je corrige cette affreuse erreur.Halouc a écrit :La N64 n'est pas le premier echec...
Le projet Playstation était une collaboration entre Nintendo et Sony, le contrat à été rompue et Sony la produit lui-même, alors que Nintendo commencait un produit de son côté, la N64.
J'imagine que tu le savais... non?
Bref, Nintendo à déjà travailler avec Sony, d'ouù peut-être cette rivalité.
