De la Nes à la Wii: que retenir?

Discussions sur les consoles de salon de Nintendo (Switch, Wii U, Wii, NGC, N64, SNES, NES), ainsi que sur les jeux disponibles ou à venir sur ces consoles mythiques !
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Kyubi
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Message par Kyubi »

Les 10 meilleurs jeux NES.

Ce classement vient de Gamespot qui vient de dresser cette liste via un vote de 12 000 personnes. Il représente les 10 meilleurs jeux NES de l'histoire de la console. J'ai décidé de prendre ce classement car il me parraisait tout à fait valable.

10. Ninja Gaiden
9. Duck Hunt
8. Metroid
7. Mega Man 2
6. Mike Tyson's Punch-Out!!
5. Contra
4. Final Fantasy
3. Super Mario Bros.
2. The Legend of Zelda
1. Super Mario Bros. 3


Ninja Gaiden

Sorti en Europe sous le nom de Shadow Warriors, cette version est celle sortie aux Etats-Unis en 1989, sous le nom qui a rendu la série célèbre.

Ninja Gaiden raconte l'histoire de Ryu Hayabusa dans sa quête à travers les Etats-Unis pour venger la mort de son père. Ce jeu a bâti sa réputation sur ses scènes d'action intenses et sa mise en scène cinématographique.

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Duck Hunt

Duck Hunt est un jeu vidéo sorti sur NES et édité par Nintendo. Il est le premier jeu à exploiter le pistolet de la console, via une simulation de chasse aux canards et de tir aux pigeons d'argile.

Le jeu fut livré avec les lots « Action Set » et « Deluxe Set » de la console, mais fut également mis en vente séparément.

Le jeu possède trois modes :

- le premier mode demande au joueur de chasser les canards un par un. Dans ce mode un deuxième joueur peut à l'aide d'une manette branchée sur le port 2 contrôler le canard ce qui est amusant mais peu maniable;
- le deuxième mode demande au joueur de chasser les canards deux par deux ;
- le troisième mode demande au joueur de tirer sur des cibles d'argile, deux par deux.

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Metroid

La Terre n'est pas la seule planète contenant des formes de vies évoluées dotées d'intelligence. La Voie Lactée compte d'innombrables mondes et quelques civilisations capables de faire des voyages intersidéraux. La cohabitation de ces différents peuples est possible grâce à la Fédération Galactique, une institution détenant les pouvoirs d'un gouvernement et composée de délégués de chaque nation. Dans une année mal déterminée, l'an 20X5, la Fédération Galactique découvre sur la planète SR388 une forme de vie inquiétante. Elle est soupçonnée d'avoir anéanti les civilisations habitant sur ce monde. Un spécimen est envoyé sur Terre pour examen, mais les Pirates de l'espace ayant eu vent de cette affaire, s'emparent du butin. Fascinés par son formidable pouvoir de destruction, ils espèrent en faire une puissante arme de guerre. Ils construisent sur Zebes un gigantesque laboratoire souterrain afin de mener leurs expériences à leur terme. La Fédération Galactique contre-attaque immédiatement en appelant Samus Aran, une chasseuse de prime qui a toujours mené à bien ses missions, même celles qui semblaient impossibles.

Seule contre tous !

Elle débarque donc seule sur Zebes, une planète peu accueillante et qui refroidit le plus téméraire des aventuriers. L'univers dans lequel va évoluer Samus est extrêmement sombre, du début à la fin elle cherchera son chemin dans un dédale de grottes où la lumière de l'étoile-soleil ne filtre jamais. Le laboratoire des pirates est énorme. Son infrastructure est constituée de 5 zones toutes reliées entre elles par des ascenseurs. Leur accès est libre, c'est-à-dire qu'une fois qu'une zone est découverte Samus peut y retourner à chaque instant. Le jeu n'est pas constitué de niveaux distincts avec un boss à la fin de ceux-ci. Il n'y qu'un seul level où il est très facile de se perdre tellement il est grand. En plus la chasseuse de prime arrive sur cette planète sans aucune carte, ce sera à vous de la faire si vous vous en sentez capable car la tâche est ardue. Metroid a cette faculté de vous égarer n'importe où, et quand vous le savez, vous vous sentez bien seul. Vous ne pouvez compter que sur vous-même pour vous en sortir. Aucun renseignement n'est donné durant la partie. C'est simple : vous êtes lâché sur Zebes et c'est à vous de vous débrouiller. Ce jeu procure un sentiment intense de solitude qu'on ne trouve pas dans d'autres softs. Bien que son scénario soit quelconque comme dans une multitude de jeux (vous êtes également le seul espoir de l'humanité), ici vous ressentirez intensément le poids de votre lourde tâche.

Cet aspect de solitude est renforcé par le minimalisme du produit. Il y a des parties entières du décor qui sont recyclées et comme le monde est vaste, c'est vraiment la galère pour se repérer. Et pour renforcer l'isolement, l'ambiance sonore est très angoissante. Les musiques sont simplistes, elles ne sont pas constituées de beaucoup de notes et sont répétitives. En fait, elles sont dans l'esprit des films d'épouvante, généralement une musique est composée d'un morceau qui est joué plusieurs fois de suite mais avec un ton ou une note différente. On retrouve également les airs des films de Science-Fiction où l'on est généralement perdu dans l'espace.

L'armure idéale :

Personne n'a jamais vu Samus Aran. Certains affirment même que c'est un cyborg. Toujours dissimulée derrière son armure, elle n'a jamais montré son visage. Cette carapace est un formidable bijou technologique et augmente considérablement les capacités physiques. D'abord elle assure une protection contre les attaques adverses mais possède également une arme utile. Durant votre descente aux enfers, vous pourrez récupérer des objets fort utiles qui amélioreront la puissance de votre armure. Un peu partout, il y a des réserves d'énergie et de missiles. Quelques unes se découvrent sans problème tandis que d'autres sont extrêmement bien cachées. Le jeu possède énormément de passages secrets, il y en a partout. Le moyen le plus courant pour y accéder est de se transformer en boule pour passer au travers des couloirs étroits. Le boule Morphing est la griffe de la série, il apporte beaucoup au gameplay. La maniabilité est très dissemblable quand vous êtes en boule ou non. Vous ne pouvez que vous déplacer vers la gauche ou la droite, il n'est pas possible de sauter, à moins.... A moins d'utiliser les mines qui en explosant vous projettent en l'air. Par contre quand vous êtes normal (pas en colère ... euh ... pas en boule), il est impossible de s'accroupir et de tirer. Le seul moyen pour détruire un adversaire au sol est de poser des mines et donc d'utiliser le boule morphing. Ce n'est pas très maniable, mais c'est cela qui pimente le jeu.

Verdict :

Metroid est un jeu de plates-formes unique, son ambiance stressante et son atmosphère noire sont très pesantes. Il y a quelque chose qui se dégage de ce titre, une tristesse peut-être, je ne sais pas, mais ça colle à la peau. La difficulté élevée renforce ce poids sur vos épaules et promet de longues heures de jeu. Il est vrai que le titre accuse, lui, le poids des années. Mais si vous faites abstraction des graphismes dénudés (qui pour moi sont charmeurs) et des ralentissements intempestifs vous vous régalerez sans peine. Un jeu inoubliable en fait.

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Mega Man 2

Second opus de cette – longue – série phare, Mega Man 2, d’après ce que j’en ai lu, est considéré comme un des (si pas le) meilleurs. Etant donné que c’est le seul auquel j’ai joué – sur NES –, je compte sur ceux qui ont essayé plusieurs épisodes pour laisser leurs avis à ce sujet. Je me borne ici à décrire ce jeu sans le comparer aux autres.

Un concept intéressant

Dans ce second portage sur la NES, Mega Man, un robot créé par le bienveillant Dr. Light, doit affronter huit mondes gardés chacun par un méchant robot, création du machiavélique Dr. Wily. Ce dernier sera rencontré à l’issue d’un neuvième niveau dans lequel Mega Man devra affronter tous les boss précédemment vaincus une fois encore. A lui alors de mettre un terme à ses rêves de domination une fois pour toutes !

Les Mega Man sont des jeux de plates-formes / action connus pour la possibilité qu’ils offrent de choisir l’ordre dans lequel on souhaite parcourir les niveaux. Cela s’avère utile lorsqu’on sait que chaque boss vaincu confère son arme (et parfois plus, comme je l’explique plus bas) à Mega Man. Si l’on ajoute que ces boss sont la plupart du temps vulnérables à une arme particulière, on comprend mieux l’intérêt de cette fonctionnalité qui constitue vraiment l’ossature des Mega Man (appelés Rockman au Japon).

Agencement

Les niveaux sont pour la plupart une succession de pièces, parfois comportant des petits labyrinthes obligeant à zigzaguer dans un même écran. A cela s’ajoutent des scènes en extérieur (cf. le niveau de Air Man). Le bouton de saut sera autant utilisé que celui de tir, car rares sont les endroits où il suffit de se déplacer en ligne droite (je vous rassure, il y en a quand même). Une grande partie de votre réussite – ou de votre échec – dépendra de votre habileté à sauter quand et comme il faut, autant pour éviter des attaques que pour que les vôtres fassent mouche.
Les échelles abondent, et il faut fréquemment en monter et descendre pour atteindre de nouvelles zones.

Certaines plates-formes plus élevées que la moyenne nécessiteront un équipement spécial pour pouvoir les atteindre. A cette fin, trois objets sont disponibles (plate-forme mobile qui monte le long d’un mur, etc.) qui sont obtenues à la mort d’un boss, comme les armes. Par exemple, au tout début du niveau de Crash Man, vous ne pourrez pas avancer car la sortie est trop élevée. Il vous faut un certain objet obtenu en éliminant un certain robot pour l’atteindre et avancer dans le niveau.

Certains niveaux présentent des subtilités qui relèvent l’action en proposant un passage plus ardu, comme des plates-formes qui apparaissent et disparaissent en alternance, ou des énormes lasers qui tuent Mega Man instantanément à moins que vous ne vous soyez abrités au bon endroit dès votre atterrissage (ce qui nécessite de bien connaître le niveau, et donc d’être déjà décédé là quelques fois auparavant).

Pour clore ce paragraphe, il existe plusieurs sortes de bonus qui permettent de recharger la barre d’énergie de Mega Man, ou bien celle de ses armes. Dans ce dernier cas, assurez-vous d’équiper l’arme que vous voulez recharger avant de vous emparer du bonus, sans quoi il ne vous servira strictement à rien.
Ces bonus sont disponibles en petites pastilles (rechargement mineur) ou en grosses (rechargement majeur).
Vous trouverez aussi des vies supplémentaires (représentées par une tête de Mega Man) et des réservoirs d’énergie (marqués « E ») dont c’est la première apparition dans la série. De même, on note la présence – nouvelle elle aussi – de mots de passe, en forme de grille dont certaines cases comportent des points.

Aspect technique

Les graphismes sont vraiment beaux pour une NES. Les sprites sont très détaillés et certains sont énormes – tels les chiens mécaniques cracheurs de feu dans le niveau de Wood Man. Les couleurs sont très variées et bien choisies ; le niveau de Heat Man est vraiment beau avec ses teintes rouges, et la disposition des blocs qui composent le mur du fond donne une impression de profondeur très réaliste. Le niveau de Wood Man nous emmène en forêt avec le vert et le brun de rigueur. Par moment j’ai l’impression de jouer sur une Super NES. Par contre le niveau de Bubble Man, avec ses chutes d’eau en fond, fait mal aux yeux.
L’animation ne pose pas de problèmes de clignotements ni de ralentissements.
Les musiques sont variées, rythmées et typiques de l’époque. Les effets sonores sont bien réalisés.

En ce qui concerne la maniabilité, Mega Man se dirige vraiment facilement. Il faut tenir compte d’une certaine inertie, notamment dans les passages où l’on doit sauter de (petite) plate-forme en (petite) plate-forme. La hauteur des sauts est fonction de la durée de pression sur le bouton correspondant. On peut se diriger pendant un saut (ou une chute), ce qui est bien évidemment appréciable. Par contre, la glissade ne fait son apparition que dans l’opus suivant, Mega Man 3.

La navigation dans le menu, pour sélectionner les armes, est un peu pénible, car il faut jongler avec Start et la manette multidirectionnelle. Il arrive souvent au début qu’on se trompe (comprenez : JE me trompe…) et sélectionne une autre arme que celle que l’on souhaitait.
Sachez enfin qu’il n’est pas possible de retourner dans un niveau déjà complété.

En bref

Mega Man 2 est un excellent jeu dans son genre. La grande variété des adversaires, la construction des niveaux, les teintes choisies pour les colorer, les musiques, la très bonne animation, la maniabilité excellente, la difficulté bien dosée (on peut choisir entre deux niveaux de difficulté au début), tout concourt à offrir au joueur un plaisir de jeu optimal.

Verdict : 8/10

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Mike Tyson's Punch-Out!!

Punch Out est à ma connaissance le seul jeu de boxe existant sur la console 8 bits de Nintendo. Vous incarnez un jeune boxeur faisant son chemin dans le but de devenir champion du monde de boxe. Vous affronterez divers adversaires au cours de 3 championnats successifs pour arrvier enfin devant le champion toutes catégories : Mike Tyson.

Les combats se déroulent sur 3 rounds de 3 minutes chacun, le boxeur ayant accumulé le plus de points à l'issue du match étant le vainqueur. Une manière plus rapide de gagner est d'envoyer l'adversaire au tapis trois fois de suite dans le même round auquel cas vous gagnez par KO technique. Evidemment, si un combattant est au tapis pendant plus de 10 secondes, il perd le match.

La caméra se situe derrière votre personnage, que vous voyez donc de dos alors que votre adversaire vous fait face. La panoplie de coup est assez variée pour un jeu 8 bits. Les touches B et A permettent de frapper au ventre avec le poing gauche ou droit. Vous enchainerez plus rapidement les coups avec le poing droit mais le poing gauche est légèrement plus puissant. En appuyant sur Haut et sur sur un bouton de poing, le personnage frappe l'adversaire au visage. Les touche Gauche et Droite vous permettent d'esquiver alors que le héros bloque une attaque en appuyant sur Bas. Occasionnellement, en frappant l'adversaire à un moment de particulière vulnérabilité, vous gagnez une petite étoile qui vous donne le droit de faire un uppercut en appuyant sur la touche Select. L'uppercut est particulièrement puissant mais vu qu'il est plus lent à l'exécution, l'adversaire a aussi plus de facilité à l'esquiver ou a le bloquer. Aussi vaut-il mieux l'utiliser quand on est à peu près sûr qu'il pourra porter.

Chaque coup encaissé fait baisser le niveau d'énergie d'un boxeur, si bien que celui-ci est envoyé au tapis dès que ce niveau tombe à zéro. Il existe aussi un niveau de fatique, représenté par un nombre de coeurs. Chaque coup encaissé vous fait perdre des coeurs, de même qu'à chaque fois que l'adversaire bloque votre attaque. Vous perdez également un coeur (et un peu d'énergie) quand vous bloquez un coup. Quand vous n'avez plus de coeurs, vous êtes trop fatigué pour attaquer l'adversaire et devez esquiver ses assauts le temps de récupérer.

Les adversaires fonctionnent selon une manière qui leur est propre. Certains misent sur la défense, d'autres sur la puissance ou encore sur la vitesse, si bien que rapidement, il s'agit de trouver la faille à exploiter pour pouvoir vaincre. Rapidement aussi, les adversaires disposent de techniques d'attaque spéciales qu'il faut apprendre à éviter, voir à utiliser pour les envoyer plus vite au tapis.

Graphiquement, le jeu n'est pas trop mal réussi si l'on considère son âge. Les sprites sont de fort belle taille et assez bien dessinés. Les animations ne sont par contre pas des plus convaincantes, les mouvements étant décomposés de façon peu réaliste mais ce n'est guère génant. Le décors est forcément assez pauvre, un ring restant un ring! Au niveau sonore, c'est correct, la musique, assez discrète, accompagne bien l'action et les sons sont assez variés. La difficulté progressive (si le premier un adversaire, le Français :[, est un vrai tocard, les derniers boxeurs sont vraiment coriaces) et la variété des boxeurs, assez nombreux (une bonne quinzaine), assure un gameplay très convaincant.

Au final, Punch Out est un jeu de boxe de bonne facture, très amusant, d'autant plus qu'il ne souffre d'aucune concurrence sur cette plate-forme!

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Contra

Alternant phases de scrolling (progression de gauche à droite) et phases à la troisième personne, Contra (plus connu en Europe sous le nom de Probotector) avait le mauvais gout d’être particulièrement exigeant. Il existait fort heureusement un code permettant de nous créditer de trente vies supplémentaires, un nombre largement suffisant malgré mon jeune âge.

Il faut dire qu’à la moindre collision entre un ennemi ou ne serait-ce que la réception du moindre projectile énergétique, le joueur se voyait immédiatement sanctionné par le retrait d’une vie. Sachant que l’on a au départ trois vies en tout et pour tout, le défi s’avère quelque peu croustillant.

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Final Fantasy

En 1987, Square, petite branche d'une compagnie d'électricité nipponne, est au plus mal. Malgré le portage de ses quelques jeux, de course notamment, sur la très vendeuse Famicom, la petite firme est dans le rouge.
C'est alors que MM. Hironobu Sakaguchi, Yoshitaka Amano et Nobuo Uematsu, entre autres, décident de créer un jeu dans la veine du retentissant Dragon Quest d'Enix sorti l'année précédente. Un RPG à la japonaise, un dernier jeu sur lequel repose l'avenir de la boîte, une "fantaisie finale"...

C'EST L'HISTOIRE D'UN MEC... NON, QUATRE EN FAIT...
Ce premier Final Fantasy propose une histoire des plus basiques. Le monde vivait en paix jusqu'au jour où le chevalier Garland libère de leur torpeur les quatre séides du Chaos. Les gens vivent alors dans la crainte, se souvenant pourtant de la légende des quatre Guerriers de la Lumière, sensés intervenir lorsque les jours sombres seront venus. Justement, quatre jeunes adolescents viennent d'arriver en ville, porteurs chacun d'un fragment de cristal...

J'SUIS L'POINCONNEUR DES LILAS
Par cet intertitre des plus foireux, je vais vous expliquer le principe de base de ce premier épisode:
En début de partie, outre leur nom, vous choisissez pour vos quatre personnages un job parmi six.
Le guerrier est un gros tank, encore appelé chair à canon. Un monstre de HP, puissant et résistant mais nul en magie.
Le moine est un guerrier à mains nues, bien balèze mais peu résistant, et lui aussi piètre magot.
Le voleur est rapide et agile, mais il est faible, peu résistant et pas magicien pour un sou.
Le mage blanc est faible lui aussi, mais maîtrise tous les sorts curatifs et est donc indispensable.
Le mage noir est encore plus faible mais lui maîtrise la magie noire. A vous les joies d'un Flare sur le boss final.
Le mage rouge enfin, est moyen et maîtrise toutes les magies, mais à un niveau inférieur aux deux autres.
Si je peux me permettre un petit conseil (de toutes façons, je me permets, c'est moi qui écris d'abord), une équipe Guerrier / Mage blanc / Mage noir / Mage rouge est virtuellement invincible. Mais rien n'empêche de finir le jeu avec toute autre équipe. Sauf une équipe de quatre moines, même nv. 99 on ne va pas jusqu'à la fin (testé et pas du tout approuvé !)
A noter qu'en cours de jeu, les jobs évoluent selon une certaine condition que je ne vous révélerai pas, nananère !

ACCROCHE-TOI JEANNOT, CA VA SECOUER...
Final Fantasy est un RPG classique. Comprenez que vous allez commencer près d'une ville. Dans cette ville, vous pourrez vous équiper, acheter des magies, des objets et vous reposer. Puis vous allez prendre connaissance de votre mission. Vous allez sur la carte du monde, pleine de combats aléatoires, vous faites un peu de level-up histoire de ne pas vous faire humilier par le premier gobelin venu, et vous vous dirigez vers le lieu de votre mission, un donjon. Là, vous affrontez de nouveaux ennemis, jusqu'à arriver devant le boss, le vaincre et récupérer l'objet nécessaire à l'avancement de votre quête.
Vous vous dirigez alors vers la prochaine ville, et rebelotte...
Ca c'est pour la théorie, parce que si vous avez des combats aléatoires dans le premier donjon, c'est que vous êtes une pigne : le boss, c'est tout droit !

PAN DANS LES DENTS
Lors d'un combat, vous avez le choix entre attaquer, faire une magie (achetée au préalable, eh oui, les magies s'achètent dans cet épisode), utiliser un objet, vous défendre ou tenter de fuir. Pour cette dernière option, il faut que vos quatre personnages tentent de fuir, sinon ça ne fonctionne pas.
L'écran de combat se découpe en quatre fenêtres : en haut à gauche, les ennemis représentés de profil. En haut à droite, vos persos représentés eux aussi de profil. En bas à droite, leurs HP actuels / HP max et leurs MP.
En bas à gauche, le nom des ennemis. Les combattants, alliés comme ennemis, attaquent dans n'importe quel ordre, l'active time battle n'apparaissant que dans l'épisode quatre. Au début de votre tour de jeu, le menu apparait dans la fenêtre bas gauche, vous sélectionnez vos choix et vous attendez que ça se passe...

ELLE ME VA BIEN CETTE ARMURE, HEIN ?
Le menu hors combat se présente de cette manière : à gauche sont représentés vos personnages, avec leurs noms, HP et MP. En haut à droite le menu et en bas à droite votre nombre de gils (la monnaie du jeu), le temps écoulé, le nombre de cristaux réactivés et le lieu où vous vous trouvez.
Pour le menu, vous avez : objets (vous pouvez les utiliser, les classer ou regarder vos objets clés), magies (à ce propos, il y a huit niveaux de magie et quatre sorts par niveau, chaque perso ne pouvant en posséder que trois. A vous de bien choisir), équipement (pour vous équiper... non, sans blague ?!), état (pour voir vos stats), formation (pour mettre vos persos dans l'ordre que vous souhaitez, sachant que le premier est celui qui se prend le plus de coups), réglages (vitesse de texte, activation de la course, position du curseur) et sauvegarde (valable uniquement en extérieur, en utilisant une tente, ou dans les auberges). Voili, voilou.

L'AVENIR EST DANS LE RETRO
De toute évidence, ce premier opus a sauvé la firme et est le précurseur d'une saga monumentale. Si bien que Squaresoft, Capcom des temps modernes, propose une première réédition sur NES en 94, en bundle avec FFII. Point de nouvelles pendant six ans, et là, le choc!
En l'an 2000, la très éphémère Wonderswan color accueille non pas un portage du jeu mais une reconversion somptueuse. Graphismes 16 bits, couleurs de meilleure qualité que sur Super NES et surtout sauvegarde n'importe où, une merveille. Deux ans plus tard, c'est La Playstation que l'on croyait morte, qui accueille Final Fantasy Origins, bundle du I et du II en version remasterisée et doté de petites cinématiques en full 3D de qualité comparable à celles de FFVII. Et la déferlante continue : en 2004, la Game Boy Advance reçoit Final Fantasy Dawn of Souls, le même bundle sans les cinématiques mais avec deux trois bonus. Ainsi pour cet épisode, quatre donjons peuplés d'ennemis et de trésors tout nouveaux font leur apparition.
La même année sort FF en version Wonderswan sur téléphones portables (nippons (ni mauvais (voilà, ça c'est fait!))) et un projet de version anniversaire est en cours sur PSP. Ouf !

DIPLOME AVEC MENTION
SCENARIO : Ca tient sur un timbre-poste. On a les bases de l'heroïc fantasy : les Elfes dans leurs forêts, les Nains qui creusent leurs trous, les pirates sur l'eau, les sages qui foutent rien mais qui vous disent que vous pouvez y arriver, les fées à sauver, les Dragons qui ont toujours la classe... Côté immersion, l'absence de personnalité des persos n'aide pas.
GRAPHISMES : bah la NES n'a que quatre ans. De gros pixels sont censés représenter les persos, le tout sur fond noir. Les décors sont très "briques" façon légo et pas très variés.
SON : les thèmes sont agréables malgré le processeur sonore à chier, mais parfois soûlantes dans les donjons les plus longs. Les bruitages sont quant à eux ni faits ni à faire, c'est laid et peu adéquat.
JOUABILITE : des menus clairs, plus que ceux du concurrent Dragon Quest en tout cas, et le système de combat au tour par tour est très facile à gérer. On progresse facilement une fois le système compris, ce qui ne prendra pas longtemps à moins d'avoir un Q.I. de poulpe.
DIFFICULTE : Alors comment dire...? Quel est le pire jeu auquel vous ayez joué ? Peu importe la réponse, vous le visualisez ? Bien, maintenant multipliez la difficulté par dix. OK ? Bon, encore trois / quatre fois comme ça et vous allez commencer à vous approcher de la vérité. Blague à part, le jeu est très dur. Il faut comprendre qu'à l'époque on achetait pas un jeu comme on achète son pain. Donc on le rentabilisait ! Petite astuce au départ : vous avez un équipement, mais il n'est pas équipé sur les persos, n'oubliez pas de le faire...
DUREE de VIE : le jeu se boucle au boût d'une cinquantaine d'heures de jeu et un lvl.50. Peu de mini-quêtes, mais ne pas les faire vous condamne à un combat final quasi-impossible.

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Super Mario Bros.

Sorti en 1985, Super Mario Bros est sans doute l'un (le ???) des jeux vidéo les plus célèbre du monde

Kidnapping
Tout va pour le mieux dans le royaume des champignons gouverné par la princesse Peach. Mais un jour, l'infâme Bowser kidnappe cette dernière !!! C'est à vous, Mario, plombier de son métier, qu'incombe la tâche de la délivrer et de sauver le royaume.

Ils sont tous là... où presque
Et oui, les personnages les plus célèbres de l'univers de Mario sont déjà présent !!! Commençons par les héros : Mario bien sur, Luigi (Mario en vert en fait), Peach (c'est que la première fois qu'elle se fait kidnapper ^^), Bowser (le grand méchant) et Toad (c'est lui que vous libérez dans les 7 premiers mondes). Du côté du bestiaire, on retrouve le principal: goombas (les espèces de champignons sur pattes), les koopas (volants ou non, avec des carapaces rouges ou vertes), les hérissons, les frères marteaux, les boulets de canons... que dire si ce n'est qu'on avait déjà droit à de la variété !!!

Saute-moutons
Si les jeux de plates-formes sont ce qu'ils sont aujourd'hui, c'est uniquement de la faute de ce jeu. En effet, en 1985, Super Mario Bros a révolutionné le monde du jeu en jetant les bases du jeu de plates-formes. Ici, vous pouvez courir et pour tuer les ennemis, vous devrez leur sauter dessus (excepté pour les hérissons et Bowser), vous prenez des champignons pour devenir plus fort, des fleurs pour cracher des flammes, attrapez des coquilles (après avoir sauté sur les tortues) pour les lancer sur l'ennemi... Ce qui peut vous sembler banal aujourd'hui était pourtant une véritable révolution à l'époque !!!

D'une grande richesse
Super Mario Bros a beau avoir presque 20 ans, il n'en demeure pas moins riche et long. En effet, vous allez devoir parcourir pas moins de 32 niveaux répartis sur 8 mondes différents !!! Le 4° niveau de chaque monde correspondra toujours à une forteresse de Bowser, dans laquelle vous devrez le battre (soit en sautant par dessus lui pour détruire le pont, soit en lui envoyant des boules de feu). Mais en plus de cela, le jeu cache des passages secrets !!! Ces derniers vous permettront de trouver des pièces ou des bonus (champignon, fleur...), mais également de sauter des niveaux !!!
Certes, cela réduit la durée de vie (quand on sait où sont les passages bien évidemment), mais le jeu n'offre pas de sauvegarde, ni de continue ainsi se retrouver dans les derniers niveaux avec peu de vies n'est pas forcément une bonne chose (remarquez, si c'est pour perdre toutes ses vies dans les niveaux précédents...), bref, ce jeu se révèle être un véritable défi que vous connaissiez ou non les passages secrets !!!


Jouabilité
Si vieux et pourtant la marque Nintendo est déjà là
Graphisme
C'est pas très beau sans être grossier pour autant
Son
Le thème mythique est déjà là !!!
Durée de vie
L'absence de sauvegarde ou de password rend le jeu difficile à finir pour qui ne connaît pas les passages secrets

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The Legend of Zelda

Bon, que ceux qui ne connaissent pas Zelda lèvent la main. A ce que je peux voir, où bien ceux qui sont dans ce cas sont atteints de tendinite des deux bras, ou bien ils sont sourds ou bien... ils n'existent pas... Et, par hasard, qui n'y a jamais joué? Ah! déjà un peu plus de monde (OK c'était pas dur :p ).

Pour ceux qui auraient joué les Robinson Crusoë sur un atoll perdu en Micronésie ces 20 dernières années, il faut leur rappeler ce qu'est Zelda, à savoir un monument. D'ailleurs ce n'est pas pour rien que Nintendo s'était appuyé dessus pour le lancement de la NES en France. Je me souviens encore de cette pub sur toute une page dans Télé 7 Jours à l'époque. Une page toute noire, avec le héros, Link qui courait et Nintendo qui disait en substance réinventer ou inventer (j'suis plus sûr :p ) le RPG. Bon évidemment c'est un petit peu des arracheurs de dents vu que Zelda est loin d'être un jeu de rôle mais n'empêche que ça m'a donné envie de demander à Papa Noël qui était alors en train de faire chauffer le diesel, heu... pardon, de préparer ses rennes avant de partir faire sa petite tournée de m'en filer une de NES, avec Zelda bien sûr. Ce que j'ai eu à ma grande joie de chtite nenfant... Il faut croire que ma menace de lui faire écouter la chanson « Mon pote le DJ » de François Valéry en boucle pendant 48h s'il ne m'apportait pas la petite boîte grise carrée avec la cartouche dorée a du porter. C'est redoutable cette chanson, on en ressort rarement indemne même après une seule écoute! :p Alors après 48h d'affilée... Bref, je digresse sévère là...

Revenons un peu au jeu, on s'en fout un peu de François Valéry. :op L'histoire se passe dans une contrée tranquille habitée de pacifiques êtres vaguement elfiques (au moins par leurs oreilles aussi pointues que celle de Mr Spock), Hyrule. La prospérité du royaume est alors garantie par l'influence bénéfique de la Triforce, gardée par la sage Princesse Zelda. Bref tout va bien jusqu'au jour où Ganon, le Prince des Ténèbres, décide d'envahir la paisible contrée. La débâcle des troupes d'Hyrule pousse alors Zelda à couper la Triforce en 8 fragments, les répartissant dans 8 châteaux afin que Ganon ne mette pas la main dessus. Zelda tombe finalement entre les mains du maléfique Ganon et sa servante Impa parvient à s'échapper, avant d'être sauvée par un jeune garçon, Link. A lui donc de récupérer les 8 fragments de Triforce avant d'affronter Ganon et ainsi sauver le pays.

Le monde d'Hyrule est divisé en deux espaces distincts : le monde du dessus (l'extérieur) et le monde « sublunaire », c'est-à-dire les donjons. On trouve 9 donjons, les 8 premiers renfermant chacun un fragment de triforce. Le dernier abrite Ganon, accessible après avoir récupéré tous les fragments. Tant le monde extérieur que les donjons sont divisés en cases représentant un écran. Ainsi, on se déplace d'écran en écran selon une vue aérienne, le scrolling vers la partie suivante ne se faisant que quand on quitte une parcelle.

Le monde extérieur est vaste, divisé en régions distinctes : plages, forêts, montagne, le fameux cimetière... Les donjons, plus ou moins aisés d'accès, sont d'une taille honorable, et bien entendue les fragments de Triforce sont chacun gardés par un boss plus ou moins coriace.

Le contrôle de Link est des plus aisé, la croix directionnelle permettant de se déplacer alors qu'un bouton permet d'utiliser son épée, le second bouton permettant d'utiliser un objet sélectionné dans l'écran d'inventaire, en appuyant sur START. Ces objets, nombreux, ont une utilité propre. Ainsi, le boomerang permet d'assommer temporairement un adversaire, alors que les bombes permettent de faire sauter certains murs, révélant des passages secrets, qui sont fort nombreux dans le jeu. Si certains de ces artefacts seront achetés auprès des marchants qui parsèment le jeu (comme la bougie bleue, les potions de vie ou les flèches) grâce à l'argent récolté en tuant des monstres, d'autres devront être trouvés dans un donjon (c'est le cas par exemple du boomerang ou de l'arc) ou durant vos pérégrinations dans le monde extérieur (le bracelet de force ou la lettre par exemple). Certains artefacts sont passifs, c'est-à-dire qu'il n'y a pas besoin de les activer, leur utilisation étant automatique. C'est notamment le cas des anneaux (bleu ou rouge) qui augmentent votre armure ou le bouclier magique qui permet de parer les tirs ennemis si on reste statique.

La mort d'un boss vous fera gagner un container de coeur supplémentaire, augmentant ainsi les dégâts que vous pouvez encaisser avant de mourir. A noter que d'autres containers sont cachés dans le monde et qu'il sera plus qu'utile de les récupérer.

Il existe trois épées différentes, plus ou moins puissantes. L'épée en bois vous sera donnée au début, elle sera avantageusement substituée par l'épée blanche puis par l'épée magique en cours de jeu. Celles-ci sont cachées dans le monde extérieur et nécessite d'avoir un nombre minimum de container de vie avant de pouvoir les récupérer. Quand Link dispose de sa vie au maximum, il est capable de lancer des épées ce qui permet de frapper un ennemi au loin.

Pour finir sur les artefacts, il faut savoir que chaque donjon dispose de deux artefacts spécifiques : la carte et la boussole, cette dernière localisant sur la carte l'endroit où se trouve le boss du niveau.

Il est remarquable de noter la diversité du bestiaire dans Zelda. Les ennemis sont très variés, et certaines espèces n'apparaissent que dans les donjons (comme les squelettes) ou dans certaines régions du monde extérieur. Chacun présente une difficulté propre, en fonction de son type d'attaque et de sa manière de se déplacer. En soit ils sont très crétins et semblent pour la plupart se promener un peu au hasard. De fait la durée de vie de Zelda est assez conséquente, d'autant qu'on a constamment envie de chercher les passages secrets disséminés un peu partout. Durée de vie doublée par la présence d'une seconde quête nettement plus difficile, accessible quand le jeu est fini une première fois.

Technique

Graphismes : le jeu étant assez vieux, ce ne sont certes pas les plus beaux graphismes qu'on ait vu sur cette console. Ils restent néanmoins très agréables et le fait qu'ils ne regorgent pas de détails font qu'ils sont très lisibles.

Animation : l'emploi d'écrans « statiques », c'est-à-dire sans scrolling permet une animation d'une fluidité exemplaire. De faits, les ralentissements sont inexistants et les clignotements de sprites très rares. Il est vrai que l'écran est rarement saturé de sprites, on est pas dans un shoot. ;)

Sons : Que dire si ce n'est que les quelques musiques du jeu restent gravées dans les mémoires? Quand aux sons, ils sont variés et agréables.

Gameplay : L'ergonomie ne souffre d'aucun défaut, les commandes étant d'une simplicité exemplaire. L'animation fluide et la lisibilité des graphismes renforcent une excellente jouabilité. Le jeu est long, présentant comme on l'a dit 2 quêtes de fort belle taille et d'une difficulté très progressive. On reconnaît le génie de Miyamoto dans le level design très léché pour l'époque.

Il y a des jeux comme ça qui sont emblématiques d'une machine, voir d'une marque. Tellement marquants qu'au delà de grandement participer au succès d'une machine, ils traversent les âges sans vraiment vieillir. Legend of Zelda en est assurément un des meilleurs représentants. On aura beau dire que cet épisode est maintenant dépassé, notamment par les séquelles qu'il a connu – Zelda 3, Ocarina of Time et WindWalker notamment bien qu'en soit ce ne soit pas comparable – mais il n'empêche que le plaisir est toujours là, intact quelques 15 ans après sa sortie en Europe. The Legend of Zelda porte bien son nom, il est une légende en soit! ;)

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Super Mario Bros. 3

Le troisième et dernier volet des aventures du plombier sur Nes.

Contrairement à Super Mario Bros 2 dont la version américaine-européenne est très différente de Super Mario Bros 1, ce jeu se rapproche de l'original. Cette fois cependant il ne s'agit pas dans l'immédiat de délivrer la princesse mais de délivrer 7 mondes occupés par un des enfants de Broswer. Chacun de ses mondes propose ses particularités : désert, océans, neige etc... Comme dans tous les Marios on accumule les pièces, on récupère les champignons et fleurs de feu. De nouveaux "pouvoirs" font leur apparition : une feuille permettant de planer un court instant, les costumes (grenouille, tanooki...) qui se révèlent bien utiles dans certaines situations.

Par ailleurs, dans chaque monde se trouve des maisons de Toad permettant de gagner un item. Celui-ci s'ajoute à votre réserve et il est possible d'en activer un avant de rentrer dans un niveau. On peut aussi participer à des jeux là aussi dans le but de remplir sa réserve d'items.

Le déroulement ne déroge pas à la règle. On parcourt les niveaux, remplis d'ennemis, de passages secrets et autre ravins. Chaque monde se conclut donc par son boss qui possède ses caractéristiques même si la méthode pour le vaincre reste la même.

Graphiquement le jeu est un peu plus beau et fouillé que Super Marios Bros 2. Les musiques sont bonnes, les sons variés et le jeu très long pour qui veut découvrir tous les secrets.

Jouabilité : excellente comme d'hab', Mario se manie très facilement.

Graphismes : assez beaux même si ça reste de la Nes.

Animation : fluide dans la plupart des cas. Ca ralentit un peu lorsque les sprites sont trop nombreux à l'écran.

Durée de vie : longue, voir même énorme si on se met dans la tête de découvrir tous les secrets.

Son : musiques entrainantes et bruitages à la Mario. Du tout bon quoi.

Super Mario Bros 3 est d'après moi le meilleur jeu de Plates-Forme sur cette bonne vieille Nes.

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Dernière modification par Kyubi le mar. 30 oct. 2007 - 11:02, modifié 3 fois.
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Message par Nadrien »

Ou pinaise SMB 3 est une perle <3
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Message par Kyubi »

J'ai cru que j'allais jamais finir! :-D

Regarder l'image 1 de Megaman 2, totalement involontaire mais super sympa!
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Message par Nadrien »

Dossier super complet, mes félicitations :-D
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Message par eqlazare »

Pour donner un avis personnel sur mon dossier, j'ai vraiment trouvé l'attitude de Nintendo dégueulasse. Ils ont surement fait couler plus d'une boite avec cette dictature.
je pense qu'ils en ont enrichi beaucoup surtout.
tu le dis toi meme pour konami, qui a augmenté son chiffre d'affaire de 2500%, ca a du faire la meme pour tous ceux qui ont eu le droit de developper sur NES.
la NES a contribué a faire grossir touts les developpeurs je pense (qui devaient survivre plus qu'autre chose avant la NES imo).
bon ca empechait pas que nintendo se goinfrait ^^
Mais en plus de cela, le jeu (super mario) cache des passages secrets !!!
Certes, cela réduit la durée de vie
et pas q'un peu, tu finis le jeu en 20 min quand tu connais les 2 plus gros passages secret :P
mais bon faire touts les niveaux etait un veritable plaisir.

exellent dossier sinon, hate de voir la suite sur la snes :)
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Message par Kyubi »

Pas en 20 minutes en 5 minutes!
http://fr.youtube.com/watch?v=NPjsBsz4trk

Elle est super connue cette vidéo mais c'est toujours aussi impressionnant.

Le dossier SNES risque d'être très riche (enfin risque, c'est une bonne chose). J'ai commencé mes recherches et les informations fusent de tous cotés!
Enfin vous verrez ça demain :) .
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Message par Nadrien »

5 Minutes :-o
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Message par eqlazare »

ouai mais moi j'etais no skill, je mourrais bien 2 trois fois avant de le finir, forcément ca ralentit :-D

edit : OMG, je viens de voir la video, c'est pas possible c'est un bot qui joue ou quoi ?
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Message par BY2K »

Korean! Un foutue korean je suis sûr! Des vrai bêtes!
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Message par eqlazare »

les coréens ne sont pas plus skillés que les autres.
a wow c'est pas les meilleurs par example, et dans les tournois des divers jeux, bah pareil, les coréens ne sont pas specialement meilleurs que les autres.
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Message par Kyubi »

Et non ce n'est pas un bot. Cette vidéo est le fruit d'un travail de minutie acharné afin de calculer excatement le moment du saut, de la course, etc.

C'est incroyable et le mec a surement du y passer un temps fou.

Voici une série de publicité NES:

http://fr.youtube.com/watch?v=RbTaGFMKxAQ
Les tortues Ninjas.

http://fr.youtube.com/watch?v=oPCRg1nEdww
The Legend of Zelda

http://fr.youtube.com/watch?v=Os8M28pogjw
Promotion de la NES

http://fr.youtube.com/watch?v=UopgY0wrr04
Pack NES

http://fr.youtube.com/watch?v=Vz4PhqhRIBk
Une ensemble très sympathique de publicités NES.

Il y en a d'autres évidemment mais bon.

A propos, dans la pub de Zelda on apprend que le slogan de Nintendo à l'époque était: "plus c'est intelligent, plus c'est amusant". C'est plutot sympa.
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Message par Nadrien »

Kyubi a écrit : A propos, dans la pub de Zelda on apprend que le slogan de Nintendo à l'époque était: "plus c'est intelligent, plus c'est amusant". C'est plutot sympa.
Mouais, bah Rayman Contre Les Lapins Crétins est complètement con, mais qu'est ce que je me m'amuse :-D

Mais ça reste un slogan !
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Message par Kyubi »

Nadrien a écrit :
Kyubi a écrit : A propos, dans la pub de Zelda on apprend que le slogan de Nintendo à l'époque était: "plus c'est intelligent, plus c'est amusant". C'est plutot sympa.
Mouais, bah Rayman Contre Les Lapins Crétins est complètement con, mais qu'est ce que je me m'amuse :-D

Mais ça reste un slogan !
On n'est pas à la même époque non plus. A mon avis, à la sortie de The Legend of Zelda, Nintendo a voulu se donner une image sérieuse afin de bien faire comprendre que ce jeu n'était pas un Super Mario Bros et qu'on nageait dans une ambiance bien plus sérieuse.

On est un peu dans la même ambiance que la pub de MP3: "Leur seule erreur, s'attaquer à une femme".

A l'inverse on aura surement une pub toute mignone et gentille à la sortie de Super Mario Galaxy. Il faut tout de suite faire comprendre aux consommateurs quels genres de jeux leur sont présentés.
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Message par Nadrien »

Kyubi a écrit :
Nadrien a écrit :
Kyubi a écrit : A propos, dans la pub de Zelda on apprend que le slogan de Nintendo à l'époque était: "plus c'est intelligent, plus c'est amusant". C'est plutot sympa.
Mouais, bah Rayman Contre Les Lapins Crétins est complètement con, mais qu'est ce que je me m'amuse :-D

Mais ça reste un slogan !
On n'est pas à la même époque non plus. A mon avis, à la sortie de The Legend of Zelda, Nintendo a voulu se donner une image sérieuse afin de bien faire comprendre que ce jeu n'était pas un Super Mario Bros et qu'on nageait dans une ambiance bien plus sérieuse.

On est un peu dans la même ambiance que la pub de MP3: "Leur seule erreur, s'attaquer à une femme".

A l'inverse on aura surement une pub toute mignone et gentille à la sortie de Super Mario Galaxy. Il faut tout de suite faire comprendre aux consommateurs quels genres de jeux leur sont présentés.
La pub de MP3 m'a laissé sur le cul avec la phrase qui tue ... je me suis dit au début de la pub "ouais youpi ..." mais après c'était "Wah..."

Il m'en faut peu pour m'émerveiller, non :-D ?
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Message par Kyubi »

Ca y est j'ai enfin trouvé après des heures de recherches un site sur la SNES de Nintendo. Il est super bien fait et très long. Je vais donc garder la forme du texte et reformulez les phrases pour que tout colle parfaitement au sens que je veux donner à ce méga-dossier.
Méga? Ah oui attendez-vous à un post, long, très long... Mais ne vous inquiétez pas je ferais une présentation exemplaire ;) .

Sinon je viens de visioner plusieurs autres pubs. Et il semblerait que Nintendo ai changé beaucoup de fois de slogans:

http://fr.youtube.com/watch?v=A-6sEbIbKG8
http://fr.youtube.com/watch?v=i1RCOL5bJOI
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